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Friday, February 29, 2008

Google lance Sites, WIKI version google

 

 

 

 

Technologie - Le moteur de recherche présente Google Sites, une application de création de wikis qui s’appuie sur la technologie de JotSpot. Censée faciliter le travail collaboratif, elle est accessible via la suite Google Apps, dédiée aux utilisateurs professionnels.

Il aura fallu attendre 16 mois pour que Google tire les bénéfices de son acquisition de Jotspot, réalisée en novembre 2006. La société éditait des applications de création de wikis, ces pages web qui permettent à plusieurs utilisateurs de collaborer en ligne sur un même projet.

Le service a été remodelé en profondeur pour donner naissance à Google Sites, un outil qui permet de rassembler au même endroit des vidéos, un agenda, des présentations, du texte et des pièces jointes. L'utilisateur peut choisir de les partager avec tous les internautes ou avec un nombre limité de collaborateurs, en consultation simple. Il peut aussi permettre ou non la modification par d'autres de ces fichiers.

« Créer un site internet pour un groupe a toujours été très compliqué, nécessitant de véritables compétences tant au niveau de l'utilisation du matériel et des logiciels que de la programmation », explique Laurent Lasserre, directeur commercial de Google Entreprise en France. « Désormais, Google Sites permet à tous les utilisateurs de créer un site entièrement personnalisé en quelques minutes et d'inviter d'autres utilisateurs à apporter leur contribution. Cela revient à ajouter un bouton Edition au web ».

Le terme wiki écarté pour ne pas dissuader

Cette application est disponible via les éditions Team, Standard, Premier et Education de Google Apps, la suite d'applications de la société qui comprend notamment une messagerie mail (Gmail) et instantanée (Google Talk), un tableur et un traitement de texte. Cette suite s'adresse plus particulièrement aux PME, TPE et administrations d'universités par exemple.

« Tout le personnel d'une entreprise peut utiliser Google Sites en s'inscrivant aux services collaboratifs et de communication de Google Apps via Team Edition, sans avoir à solliciter l'assistance de son service informatique », précise le moteur de recherche. L'interface n'est disponible pour l'instant qu'en anglais, mais accessible toutefois aux utilisateurs du monde entier.

Google évite toutefois délibérément d'employer le terme wiki pour décrire son application. « Il ne devrait pas y avoir de distinction entre les wikis et les sites classiques », explique Scott Johnson, chef produits chez Google. Le moteur de recherche refuse d'employer le jargon IT pour ne pas effrayer les utilisateurs peu technophiles, qui sont justement la cible visée.

Par Estelle Dumout, ZDNet France

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Microsoft va baisser les prix de Windows Vista, price down again

 

 

Microsoft va baisser les prix de Windows Vista

Microsoft prévoit de baisser les prix de vente de Windows Vista pour inciter les consommateurs à adopter la dernière version de son système d'exploitation. /Photo d'archives/REUTERS/Shannon Stapleton

SEATTLE (Reuters) - Microsoft prévoit de baisser les prix de vente de Windows Vista pour inciter les consommateurs à adopter la dernière version de son système d'exploitation.

Le géant américain des logiciels a déclaré jeudi qu'il envisageait de baisser les prix de vente au détail de Vista dans plus de 70 pays lors de la sortie plus tard dans l'année de sa première importante actualisation, appelée Service Pack 1 (SP1).

Les versions de Vista vendues en magasin et sur internet représentent moins de 10% de l'ensemble des licences du système d'exploitation Windows, qui fonctionnent sur plus de 90% des PC dans le monde.

La plupart des consommateurs préfèrent acheter un nouvel ordinateur, sur lequel la dernière version de Windows est préinstallée.

"Nous prévoyons que ces changements vont nous apporter de meilleures opportunités (...) de vendre plus de copies de Windows", a déclaré Brad Brooks, un vice-président de Microsoft.

Les baisses de prix varieront d'un pays à l'autre. Aux Etats-Unis, Windows Vista Ultimate, la version haut-de-gamme, sera commercialisée 319 dollars contre 399 actuellement, et la version qui permet de mettre à jour son système (XP ou autre) sera proposée à 219 dollars (contre 259). La version de base, Vista Home Premium, passera de 159 à 129 dollars.

Sur les marchés émergents, Microsoft va arrêter la commercialisation des versions "de mise à jour" de Vista parce que pour beaucoup de consommateurs, il s'agira du premier achat d'une authentique copie de Windows. A la place, le groupe vendra Vista Home Premium et Home Basic, une version réduite à l'essentiel.

Microsoft a vendu plus de 100 millions de licences Vista depuis son lancement en janvier 2007 et son adoption a contribué aux bons résultats du groupe ces derniers trimestres.

Cette annonce intervient au moment où une étude du cabinet NPD a révélé que le budget consacré aux logiciels aux Etats-Unis a baissé de 30% en janvier.

Daisuke Wakabayashi, version française Mathilde Gardin

Wednesday, February 27, 2008

Google : un câble sous-marin entre le Japon et les USA : le monde entre vos mains

 

Google : un câble sous-marin entre le Japon et les USA

Google confirme son implication financière dans Unity avec en ligne de mire l'installation d'un nouveau câble de télécommunications sous-marin reliant les Etats-Unis et le Japon.

Google logoAvec pour objectif d'améliorer la connectivité trans-pacifique, un consortium de six sociétés internationales baptisé Unity s'est constitué avec dans ses rangs, le géant de l'Internet, Google. Aujourd'hui, la firme de Mountain View confirme son implication dans Unity pour une infrastructure fibre optique à construire dont le coût est estimé aux alentours de 300 millions de dollars.
Augmentation de la bande passante trans-pacifique
Alors que le trafic de données entre les Etats-Unis et l'Asie a augmenté de près de 64% entre 2002 et 2007, un nouveau câble permettra d'y faire face avec une augmentation initiale de la capacité de transport de 20%. A terme, c'est-à-dire à l'horizon 2013 et après une mise en service en 2010, ce câble de 10 000 kilomètres tiré entre les abords de la ville de Tokyo et celle de Los Angeles, offrira une capacité de transfert de 7,68 terabits par seconde.
Outre Google, le consortium Unity regroupe Bharti Airtel, Global Transit, KDDI, Pacnet et SingTel. NEC Corporation et Tyco Telecommunications sont les fournisseurs de ce projet d'envergure. Par ailleurs, pour répondre aux échanges de données toujours plus importants sur Internet, plusieurs travaux sont actuellement en cours sur les divers câbles sous-marins reliant les continents.(generation-nt.com)

Obama la force tranquille contre Clinton l'offensive nerveuse

 

Obama la force tranquille contre Clinton l'offensive nerveuse

    Après les lourdes tensions entre les deux candidats démocrates durant le week-end et jusqu'à la veille du débat de mardi soir à Cleveland (Ohio), Barack Obama a abordé le duel télévisé avec deux bonnes nouvelles tombées le même jour: des sondages favorables (légère avance pour la primaire du Texas, resserrement en Ohio et par ailleurs le mieux à même de battre John McCain en novembre) et le soutien du sénateur Chris Dodd, ancien candidat à l'investiture démocrate pour la présidentielle américaine. Hillary Clinton, qui a plusieurs fois attaqué son adversaire sur son manque d'expérience, semble avoir été clairement désavouée par les électeurs démocrates, selon un sondage New York Times/CBS News qui révèle que cette stratégie n'a pas été payante: 47% d'entre eux estiment qu'Obama saura gérer avec sagesse une crise internationale, contre 39% pour Clinton. Ils sont 69% à juger que le sénateur de l'Illinois ferait un bon commandant en chef des armées contre 54% pour la sénatrice de New York. Voilà un peu le contexte juste avant le 20e débat chez les Démocrates, le 3e exclusivement en tête-à-tête entre Hillary Clinton et Barack Obama. Alors, alors, que s'est-il passé exactement durant ce débat de 90 minutes ?
    Comme le faisait remarquer un commentateur de la chaîne de télévision MSNBC, reprenant la métaphore d'un match de football américain: un match fermé et serré, avec quelques points aux tirs çà et là mais aucun "touchdown" de part et d'autre, ce qui aurait été nécessaire surtout pour Hillary Clinton. En clair, ce débat ne devrait pas changer grand chose dans la course actuelle entre les deux candidats. Si les deux journalistes ont certainement posé les questions les plus frontales et peut-être même les plus critiques (dans la forme) en trois duels Obama-Clinton, chacun y a répondu avec précision et self-control. Il n'y a pas eu de grands échanges, ni de moments forts, chacun a semblé se concentrer sur ses réponses, s'adressant souvent directement aux deux journalistes. Un peu chacun dans son coin. Le ton n'est jamais vraiment monté (parfois vif, mais toujours courtois) et il n'y a pratiquement eu aucun échange du regard. Mon impression: un duel pour solder des comptes. Hillary Clinton était tout de même visiblement la plus tendue et nerveuse, parfois à la limite de l'exaspération aussi, comme fatiguée, très très légèrement vacillante. A ses côtés, Barack Obama affichait plus de mordant et plus de calme à la fois. Un calme olympien... presque désarmant pour sa rivale. Il avait l'air plus serein, détendu et surtout plus confiant. Oui, on sent que le sénateur de l'Illinois à une totale confiance en lui et en ses électeurs au stade actuel (ou depuis toujours). Voilà, ce qui m'a frappé. Aucune agressivité de sa part, même ses contre-attaques paraissaient feutrées. Un style chaleureux, cool, mais assez classe en même temps. Je serais tenté de parler de... force tranquille! Toujours est-il que ce débat a plus donné lieu à une mise au point et à des justifications sur les attaques fondées ou non de ces derniers jours qu'à un vrai débat dialectique. Même s'ils ont affiché leurs (légères) différences sur l'assurance santé, l'accord de libre-échange nord-américain (ALENA), la politique étrangère et leur style diplomatique ainsi que sur la guerre en Irak, leurs projets démocrates (du parti s'entend) de société, dans leur philosophie politique, se ressemblent quand même beaucoup. En clair: on en apprend plus beaucoup sur leur programme et sur eux-mêmes. Quelques précisions par-ci, quelques détails par-là. Vivement les débats entre McCain et Obama ou Clinton: la dialectique sera certainement plus dynamique sur la forme et surtout sur le fond politique, économique et social, sur les projets politiques et les visions sociétales pour l'avenir.
    Le débat est toutefois vite entré dans le vif du sujet, entendez par-là les récentes attaques du camp Clinton à l'encontre du camp Obama, images à l'appui. On revoit ainsi la fin du dernier débat et le "C'est un honneur de concourir aux côtés de Barack Obama", puis on revoit le "Shame on you, Barack Obama" de samedi lors d'un meeting. Pourquoi cette différence de ton?, interroge le journaliste. Hillary contourne un peu la question, ne s'attarde pas sur le changement de ton et répète que les e-mails et tracts électoraux d'Obama sont faux dans leurs critiques du programme de Clinton. Elle exige précision et exactitude factuelles dans ce débat. Elle dément aussi que son équipe est à l'origine de la photo circulant sur internet où l'on voit Obama en costume traditionnel africain. Obama ne revient même pas là-dessus. C'est alors que les deux candidats s'accusent mutuellement de déformer, voire de falsifier les propositions que font l'un et l'autre.  Extrait: "Obama ne cesse de dire que j'obligerais les gens à souscrire une assurance maladie qu'ils puissent se le permettre ou non. Ce n'est pas vrai" (Clinton). "Hillary Clinton affirme que mon plan d'assurance maladie laisserait 15 millions de personnes sur le carreau. Je conteste cela. Je pense que ce n'est pas fondé" (Obama). Ce fut le chapitre le plus long du débat (16 minutes) et pourtant, peu de réponse clair sur la manière d'obliger les gens à contracter une assurance-maladie (pour le plan Clinton), à expliquer comment cette couverture universelle ou quasi universelle coûtera ou encore quel sera le niveau des primes d'assurance (pour les deux plans). Chacun critique l'autre puis se défend à son tour et finit toujours par recentrer le débat sur ses atouts: couverture universelle complète et totale (Clinton), accessibilité assurée pour tous ceux qui ont en vraiment besoin et envie (Obama). Hillary se montre la plus agacée par moments, Obama le plus posé, imperturbable.
    Sur l'ALENA, un des journalistes semble vouloir faire vaciller Hillary de par son insistance à répéter plusieurs fois la même question - le même reproche -, s'agissant de ses nombreuses déclarations en faveur de cet accord de libre-échange (USA, Canada et Mexique) qui a provoqué de nombreuses délocalisations et de nombreuses pertes d'emploi. La sénatrice se défend: l'accord a été bon pour certains secteurs d'activités et Etats, mauvais pour d'autres, comme dans l'Ohio. Elle dit aussi être prête à réaménager, voir à amender, voire à renégocier partiellement cet accord. Mais pas question de se retirer unilatéralement de cet accord dans les six mois (c'était la question) si elle devenait présidente. Hillary tourne quasiment tout son discours sur ce sujet à l'adresse des électeurs de l'Ohio. Elle est plutôt habile et très convaincante. Obama est accusé d'ambivalence sur ce sujet par les journalistes du débat. Il répond qu'il est pour une renégociation de l'ALENA et n'envisage pas de retrait des Etats-Unis non plus. Et de rappeler qu'il est en quelque sorte le champion anti-délocalisations, avec notamment sa proposition de taxer les entreprises qui délocalisent.
    Puis c'est au tour de la politique étrangère et de l'Irak. Approches diplomatiques différentes. Prudence clintonienne versus souplesse obamienne. On dira que la diplomatie plus active et directe proposée par Barack Obama tranche le plus avec l'administration Bush. Clinton fait de nouveau des insinuations sur le manque d'expérience de son rival, qui lui ne se démonte pas. Il semble même avoir peaufiné son argumentaire sur la politique étrangère, évoquant pêle-mêle l'Irak, le Pakistan, le Kosovo et se montrant assez bien documenté, si je puis dire, sur la Russie, à la suite d'une question sur les futures élections russes. Sur ce sujet, c'est Clinton qui doit se coller au récital du nom du successeur de Poutine (Medvedev): elle le connaissait assurément, mais elle a un peu balbutié son nom (Medvevev). Sur l'Irak, Hillary tente de se sortir de son argumentaire inconfortable (elle a voté en 2002 pour la guerre) avec un petit changement tactique, s'adressant à Obama bien sûr: en gros, facile de dire qu'on était pas pour la guerre en 2002 quand on ne faisait même pas partie du Sénat et donc dégagé de ce genre de responsabilité. Et de rappeler que depuis qu'Obama est au Sénat (2004), les deux candidats ont toujours voté pareillement sur la politique étrangère et les troupes américaines engagées en Irak ou en Afghanistan notamment. Hillary tente ainsi de gommer la grande différence entre Obama et elle sur l'entrée en guerre en Irak. Ça ne prend pas vraiment. Obama insiste lui sur le fait qu'il sera plus crédible et convaincant sur ce sujet face à John McCain, étant donné que Clinton a voté comme le sénateur républicain de l'Arizona. Il estime que sa capacité de jugement est supérieur à celle de sa rivale. "Alors que Mme Clinton dit qu'elle sera prête dès le premier jour, les faits ont montré qu'elle était prête à céder à George W. Bush dès le premier jour sur un sujet critique", lance Obama, en référence au vote de 2002. Hillary déclare toutefois que si ce vote était à refaire, elle voterait non, ce qu'elle a parfois déjà dit, mais cette fois-ci cela paraît plus affirmatif et solennel. En revanche, en aucun cas un mea culpa ou une erreur admise accompagnée d'excuses.
    Autre question, autre moment symptomatique d'un débat très centré sur les justifications. La question concerne le soutien apporté à Obama par Louis Farrakhan, un dirigeant de l'organisation Nation of Islam (NOI), connu pour ses dérapages antisémites. Se présentant comme "ami d'Israël", le sénateur tient à se démarquer de cet "endorsement", explique qu'il n'avait pas sollicité ce soutien et qu'il le dénonçait. Le sujet paraît en décalage dans un tel débat. Surtout qu'il n'amène aucun candidat à élargir le sujet et à parler par exemple du conflit israélo-palestinien (sujet peu abordé dans ces primaires démocrates). Il n'empêche qu'Hillary Clinton rebondit sur cette question-attaque pour Obama et raconte pour sa part qu'en 2000, au cours de sa campagne pour être élue sénatrice, elle avait reçu le soutien d'un groupe antisémite. "J'ai rejeté ce soutien", rappelle-t-elle non sans fierté. Et d'ajouter que "rejeter était différent de dénoncer". Visiblement agacé que ce sujet prenne subitement autant de place, Obama répond, en gros: "si le mot rejeter semble plus fort pour Mme Clinton que le mot dénoncer, alors je rejette et je dénonce". Le public très silencieux jusqu'ici ou alors inaudible à l'écran télévisé, semble apprécier la réplique d'Obama.
    A la fin du débat, c'est cette fois-ci Barack Obama qui vole la vedette du finish à Hillary Clinton (lors du dernier débat, elle avait fini sur une note très humaine et émotionnelle). Ce n'est pas aussi fort et poignant, mais la conclusion se veut conciliante et apaisante. Celui ayant été le plus attaqué ces derniers jours joue la grandeur d'âme et jette même quelques fleurs au passage à sa rivale ("une candidate magnifique"). C'est la fin du débat. Les réactions du public ont été presque inexistantes (ou inaudibles, je me répète). Obama se lève et tient la chaise d'Hillary avec galanterie. Les deux candidats démocrates se serrent furtivement la main.

Tuesday, February 26, 2008

Maroc: 34 millions d'euros pour un "Tibidabo" à Casablanca

 

 

ImageUn parc d’attractions, semblable au "Tibidabo" de Barcelone, sera construit dans la ville de Casablanca. D’un investissement de près de 34 millions d’Euros, le "Tibidabo-Casablanca" sera édifié sur un terrain de 24 hectares au sud ouest de la capitale économique du Royaume. Le lancement des travaux de construction, qui seront confiés à plusieurs entreprises relevant du groupe catalan Neocium, est prévu courant 2007.
Le "Tibidabo-Casablanca", le premier du genre au Maroc, devra ouvrir ses portes d’ici trois ans pour accueillir plus d’un million de visiteurs annuellement.
Aux côtés du "Tibidabo-Casablanca", sera construit un complexe touristique composé de deux hôtels et d’une zone commerciale. Le parc, qui s’inspire des contes des mille et une nuits, se décline en quatre principales attractions "Ali Baba", "Sindibad", "Aladdin" et "Sherazade".

Monday, February 25, 2008

Firefox dépasse les 500 millions de téléchargements

 

Firefox dépasse les 500 millions de téléchargements

Firefox

Belle victoire pour l'open-source. Malgré la sortie d'Internet Explorer 7.0 qui a corrigé les plus grosses lacunes du navigateur de Microsoft, Firefox continue de séduire les internautes. Selon la Fondation Mozilla qui édite le logiciel libre, Firefox aurait passé la barre des 500 millions de téléchargement depuis son lancement fin 2004. Mais surtout, son rythme d'adoption s'accélère. Ainsi, entre septembre et février, ce sont 100 millions de téléchargements du navigateur qui ont été effectués.

En moyenne, Firefox est téléchargé 20 millions de fois par mois. Selon le baromètre Xiti, qui se base sur l'analyse de 110.000 sites web, la part du navigateur libre aurait progressé de 5 points en Europe entre janvier et décembre 2007, pour atteindre 28 % de parts de marché. Notez que la France accuse toutefois un léger retard sur la moyenne européenne, avec 25,8 % d'internautes sous Firefox.

La sortie de Firefox 3.0, dont vous pouvez déjà télécharger la bêta sur Numerama, pourrait encore accentuer le succès populaire de Firefox sur le marché des navigateurs. Espérons tout de même que la fondation Mozilla et ses contributeurs ne dorment pas sur leurs lauriers et corrigent enfin certains des problèmes les plus agaçants de Firefox, en particulier sa consommation en ressources, anormalement élevée. Une faiblesse qui commence à profiter à un autre concurrent d'Internet Explorer, Opera, qui séduit lui aussi un nombre croissant d'internautes.

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