Facebook a cinq ans et 150 millions d'amis
Pour fêter cet anniversaire, le créateur de Facebook a eu l'idée d'adresser un cadeau virtuel à ses fidèles internautes, censé célébrer les "liens" unissant les utilisateurs entre eux.
Le site créé en 2004 est devenu le réseau de socialisation le plus fréquenté.
Bon anniversaire Facebook. Le site de socialisation a fêté mardi ses cinq ans. Le réseau a été créé en février 2004 par Mark Zuckerberg, alors âgé de 19 ans, et deux camarades de la prestigieuse université d'Havard depuis leur chambre d'étudiants. Leur but : créer un réseau pour rester en contact avec leurs amis. Un pari gagné bien au-delà de leur objectif initial.
Aujourd'hui, Facebook, basé à Palo Alto, en Californie, est devenu le site de socialisation le plus fréquenté, devançant son principal concurrent MySpace. Le site compte cent cinquante millions d'utilisateurs avec une audience en augmentation de 127% sur 2008, selon le cabinet spécialisé comScore. Mark Zuckerberg ne cache pas sa joie en cette date anniversaire : "Nous sommes heureux et comblés de voir qu'autant de personnes utilisent Facebook".
Un cadeau d'anniversaire virtuel
Et pour fêter cette date mémorable, le créateur de Facebook a eu l'idée d'adresser un cadeau virtuel à ses fidèles internautes. Baptisé "Merci", ce cadeau est censé célébrer les "liens" unissant les utilisateurs.Mais au-delà de la célébration, Facebook a encore bien du chemin à parcourir. Notamment pour devenir rentable. Contrairement aux autres géants d'internet comme Yahoo! ou Google, le site n'a pas encore trouvé comment transformer en argent sa formidable audience. Même si Microsoft a pris une participation de 1,6% dans la société en 2007, pour 240 millions de dollars, valorisant sur le papier l'entreprise à 15 milliards. "Construire et évoluer rapidement pendant les cinq dernières années n'a pas été facile, mais nous n'avons pas fini", explique Mark Zuckerberg, "les défis qui nous attendent doivent nous pousser à toujours innover".
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Thursday, February 5, 2009
Facebook a cinq ans et 150 millions d'amis
Tuesday, February 3, 2009
Toshiba TG01 mobile phone - First Look
Will this 4.1-inch touchscreen handset rule the roost?
3 February 2009 - Toshiba has announced its latest stab at taking on the mobile phone market with the TG01. But can the new touchscreen mobile phone that promises to "revolutionise the mobile entertainment world" really crack the market dominated by so many other players? We managed to get a brief hands on with the new phone.
Okay - when we say brief we mean it. We had a about 10 minutes with the phone in total while filming a walk-through for Megawhat, but that time did allow us to get all touchy feely with the interface and therefore share some of our experiences with you, our lovely readers.
So what do you get? Well virtually everything it seems. It's a top of the range smartphone, so that means there is Wi-Fi, HSDPA, AGPS, a 3.2-megapixel camera on the back, and a microSD card slot around the side that's hot swappable.
The screen is the big wow factor here; it's a 4.1-inch wide VGA (800 x 480) touchscreen that Toshiba says is for "enhanced viewing and optimum rendering of original movies". In reality the screen is big and crisp although not multi-touch enabled.
Toshiba reckon they've taken the technology normally found in its REGZA range, and crunched it down into this handset - a 4.1-inch television for all intents and purposes. With that in mind you'll get colour matching, LCD backlight control, colour image control and dynamic gamma correction controls. The result is that video and gaming playback is good - BlackBerry Storm good - and with a bigger screen you will get more of a movie experience than, say, the iPhone.
To help promote the video playback functionality even further Toshiba has made the player DivX capable and you can see why the company has made the decision to offer support for microSDHC up to 32GB rather than offer an in-built memory option of the more standard 8GB (it's actually 512MB). If you're going to be watching movies you want them to be good.
Sporting a 4.1-inch screen would, as you might expect, make the device rather large. And large it is, but luckily it's not thick. At 9.9mm it's thinner than the competition (iPhone, G1, Storm, HTC Touch) and while it means it will take up most of your pocket space, at least it won't protrude too much - you won't be getting "hello big boy" remarks.
Get past the big screen and the handset is powered by Qualcomm's new Snapdragon 1GHz chipset meaning you get the fastest chipset around at the moment.
In reality it means the phone can do stuff faster without hanging or getting Microsoft's spinning circle of death. It also means that menus can be a bit more "swish" and so Toshiba has heavily customised the interface beyond the Microsoft Windows Mobile 6.1 operating system.
Interestingly you will be able to turn down the chipset to conserve battery if you don't need all that power thanks to a collection of Toshiba Utilities in the settings menu.
Following in HTC's footsteps the interface is very different to the Windows Mobile 6.1 you've seen on devices such as the Omina for example, taking on a three-column system.
Those three columns don't however seem to have any user interface purpose apart from looking different and the best way to describe it is like a blind on a window. Swishing your finger from left to right spins through the columns. The colours are yellow, pink, and purple - all a bit much.
Being Windows Mobile 6.1 you get all the usual software elements - Office support, email and the like. Unlike HTC, Toshiba has stuck with Internet Explorer as the default browser and you'll get IE6 here with, you'll be pleased to know, full Adobe Flash support. Giving you the ability to watch videos, as long as you've got a data package to match, to your heart's content.
While the company has yet to confirm whether it will be offering an upgrade path to the much rumoured Windows Mobile 6.5 OS we would probably take that as a given. The result could mean the interface changing completely by the time it comes out in the summer. Let's hope.
First Impressions
Our time was brief with the TG01, however it's clear that Toshiba has the opposite offering to the G1 from Google on its hands.
What do we mean by that? Well, instead of a duff handset with an operating system with masses of potential, Toshiba have a great looking handset with an OS that in its current state is a bit lacking.
The screen is lovely, the speed very good and the spec feature set impressive, but let's hope that it will either be sporting a newer better version of Windows Mobile or possibly an Android brother when it eventually lands in the UK later this year.
The Toshiba TG01 is due out summer 2009.
Google Earth explore les océans
Google va toujours plus loin ! Le moteur de recherche a enrichi Google Earth, dans sa version 5.0, de nouvelles données sur les fonds marins. Jusqu'ici le logiciel, librement téléchargeable en ligne, présentait images aériennes et satellitaires de la terre, sans plonger dans ses océans. La fonction « Ocean » offre la possibilité aux internautes de découvrir le relief des fonds marins en 3D, dont la dorsale médio-océanique qui s'étend sur plus de 50.000 km. Par ailleurs, les amateurs peuvent bénéficier des commentaires d'experts scientifiques sur la vie océanique.
Pour en arriver là, Google s'est associé à de nombreux partenaires, dont la BBC, la National Geographic Society et l'Equipe Cousteau. Sa présidente, Francine Cousteau, déclare à ce propos : « la collaboration de The Cousteau Society, avec Google - au service des internautes du monde entier - est une décision aussi importante pour l'information, l'éducation et la sensibilisation du public, que le choix qu'avait fait, en son temps, le commandant Cousteau d'utiliser, dans le même but, la télévision. Cousteau/Google est une alliance naturelle pour sauver notre planète d'eau. »
Les océans recouvrent plus de 70% de la surface de la terre, jusqu'ici seuls 5% ont été explorés par l'Hommme.Maui, Hawaï, Lanai Island (Google Earth)
Les dessous du bug mondial essuyé par Google
Le site de Google Photo © Google
Dimanche 1 février 2009, 00h00
Entre 14h30 et 15h25 samedi, le moteur de recherche pointait du doigt l'ensemble des sites Web comme dangereux. Google explique ce bug par une erreur humaine interne.
"Ce site pourrait endommager votre ordinateur". L'ensemble des résultats de recherche proposés par Google étaient accompagnés de ce message entre 14h30 et 15h25 ce samedi 31 janvier 2009. Une alerte publiée en théorie pour les seuls sites susceptibles de représenter une menace de sécurité pour l'internaute. Et ironie du sort, même le site de Google était affublé de la sorte. Le bug s'est limité au moteur de recherche principal, et ne concernait pas le moteur d'actualités.
Quelques minutes après la résolution du problème, Marissa Mayer, vice-présidente expérience utilisateur chez de Google, a publié une note sur son blog expliquant l'incident par une erreur humaine tout en incriminant StopBadware.org : un fournisseur de listes de sites dangereux avec lequel le groupe travaille. 30 minutes plus tard, StopBadware.org dénonçait cette mise en cause. Une heure après, Google publiait un mea culpa, reconnaissant être seul responsable.
Il semble en effet que StopBadware.org ne soit pas à l'origine de l'incident. Explication : Google parcours en permanence le Web par le biais d'agents intelligents pour repérer les sites dangereux, que ce soient les sites de phishing ou les malware – générant l'installation de codes malicieux sur le poste de l'internaute. C'est à partir des données issues de cette opération que Google génère ses alertes de sécurité. Ces informations sont ensuite reprises par StopBadware.org qui les exploite pour publier des rapports d'analyse ciblant les directeurs techniques, pour les aider à nettoyer leur site par exemple.
L'erreur aurait eu lieu lors de la mise à jour de cette liste de sites jugés dangereux dans les bases de Google. Les adresses Internet en question auraient été décochées par erreur, et la fonction d'alerte cochée par mégarde pour l'ensemble des URL du moteur de recherche.
Suite à ce mauvais paramétrage, le bug aurait commencé à apparaître entre 14h27 et 14h40. Dans la foulée de sa résolution, il aurait disparu entre 15h10 et 15h25. "C'était clairement une erreur de notre part, et nous sommes désolés pour la gêne occasionnée pour les utilisateurs", a donc reconnu Google, en promettant de tout mettre en œuvre pour qu'un tel problème ne se reproduise pas, notamment par la mise en place de nouveaux points de contrôle. La société a de plus indiqué qu'une enquête plus approfondie était en cours.