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Thursday, August 27, 2009

The Associated Press: Facebook agrees with Canada on privacy controls

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Facebook agrees with Canada on privacy controls

By CHARMAINE NORONHA (AP) – 16 minutes ago

TORONTO — Facebook agreed Thursday to give users more control over the information they share with outside applications like games and quizzes in response to concerns raised by Canadian privacy officials.

Currently, people who wish to use such software have to agree to share all their data with the application. For example, when a user signs up to take a quiz, the software developer could tap the user's biographical information, photos and hobbies, along with profiles and information on friends, even if such data aren't needed to take the quiz.

With the changes, the application developer will have to specify ahead of time which categories of data the software needs. Users will have the opportunity to hold back certain pieces of information when they approve access. A link also will be provided so users can get an explanation of what information is collected and why.

Users will also have to specifically approve any access Facebook applications have to their friends' information. Such access still would be subject to the friend's privacy and application settings.

"Application developers have had virtually unrestricted access to Facebook users' personal information," Privacy Commissioner Jennifer Stoddart told reporters Thursday. "The changes Facebook plans to introduce will allow users to control the types of personal information that applications can access."

Facebook said the entire process would take up to a year to implement.

Although the changes stemmed from Canadian privacy complaints, they will apply to Facebook's 250 million users worldwide.

Dave Morin, senior platform manager at Facebook, said the changes won't hinder developers' ability to create good applications.

"Users will continue to be more and more engaged over time and people will develop better businesses because of it," he said. "It's about the user being in control."

Last month, Canada's privacy commissioner accused Facebook of disclosing personal information about users to the nearly 1 million outside developers worldwide who create Facebook applications.

Stoddart's report also said the Web site breaches Canada's privacy law by keeping a user's personal information indefinitely — even after some members close their accounts.

As part of Thursday's agreement, Facebook will spell out in its privacy policy the difference between deleting an account — which removes all personal information from Facebook servers after two weeks — and deactivating it, which merely makes the profile inaccessible, but lets Facebook keep the information into its database.

Facebook will also provide users with a better explanation of how its advertising programs work and how accounts of deceased users are handled. The site will point out that users' profiles are kept online for friends to post comments and pay tribute; eventually friends and relatives will have a mechanism for deleting accounts.

However, analysts cautioned that the safeguards are not foolproof.

Jules Polonetsky, co-chairman and director at the Future of Privacy Forum think tank in Washington, D.C., said that while users will be more aware that applications are accessing their data, they may still click through the notices without regard for what information they are ceding to the developers.

Privacy has been a central, often thorny issue for Facebook because so many people use it to share personal information with their friends and family. As the 5-year-old social networking service has expanded its user base and added features, its privacy controls have grown increasingly complicated.

The Palo Alto, Calif.-based company has said it was overhauling its privacy controls in an attempt to simplify its users' ability to control who sees the information they share on the site.

The Canadian privacy commission garnered worldwide attention this summer when Canada became the first country to legally examine Facebook's privacy provisions, in response to a complaint last year from students at the Canadian Internet Policy and Public Interest Clinic at the University of Ottawa.

Stoddart said European and Australian regulators had also begun looking at social-networking issues.

Elizabeth Denham, the assistant privacy commissioner who carried out Canada's investigation on Facebook, said her office is now analyzing the privacy policies and practices of six other social networking sites available to Canadians. She would not name the sites.

"Many companies that have been operating for years, need to take note of Canadian law or whatever domestic law of the country they're operating in," she said in an interview.

The outcome of Canada's investigation could influence the practices of other social networking Web sites, such as MySpace and Twitter. MySpace said officials will meet with Canada's privacy commissioner next month. The company said it does not believe the Facebook changes will not affect MySpace operations, as MySpace already deletes users information from its servers once an account is deactivated.

Stoddart said she hopes all social networking sites will adapt their privacy practices based on the Facebook agreement.

Copyright © 2009 The Associated Press. All rights reserved.

The Associated Press: Facebook agrees with Canada on privacy controls

Le parti au pouvoir à Tokyo redoute la fin de son règne

 

Le Parti libéral-démocrate a gardé la haute main sur la gestion du Japon pendant cinquante ans, mais la puissante machine s’est grippée
«Le Parti libéral-démocrate (PLD) est éternel, et le Japon de demain ne se fera pas sans lui. » La citation date de la fin du mois d’août 2008 quand l’actuel premier ministre, Taro Aso, était en course pour ce poste. Un an plus tard, le ton n’est plus le même à l’approche des élections législatives de dimanche 30 août. Ses jours à la tête de l’exécutif japonais semblent comptés : sa cote de popularité stagne depuis des mois sous la barre des 20 % et son parti, au pouvoir presque sans interruption depuis 1955, est aux abois.
Quel que soit le résultat dimanche 30 août dans la soirée, il retentira comme un coup de tonnerre. La victoire du Parti démocrate du Japon (PDJ) sonnerait le glas de la démocratie unipartite dans laquelle se complaît le Japon depuis cinquante ans. Le résultat inverse serait aussi retentissant puisque plus personne aujourd’hui, pas même le ministre des finances Kaoru Yosano, n’imagine le PLD gagnant.
Comment les libéraux-démocrates ont-ils construit leur règne ? De 1955 à l’éclatement de la bulle économique au début des années 1990, le PLD et la bureaucratie ont accompagné le formidable développement de l’économie japonaise. La clé de leur succès est d’avoir su distribuer les fruits de la croissance à une classe moyenne nombreuse et très homogène. Clientélisme, transmission familiale des circonscriptions, canalisation du débat politique au sein même du parti : le PLD était une machine électorale imbattable à laquelle l’électorat ne cessait de manifester sa gratitude.

Premier revers électoral en 2007

À partir de 1991, les Japonais redécouvrent la crise, la précarité, et la colère monte. En 2006, le vent tourne après le départ de l’ultra populaire premier ministre Junichiro Koizumi. En janvier 2007, son successeur Shinzo Abe déclare qu’il veut mener une politique qui permettrait au Japon de devenir un « beau pays » ; mais ses rêveries le mènent à mille lieues des cinquante millions de dossiers de retraite « égarés » par l’administration et qui préoccupent tant la population.
La première sanction tombe en juillet 2007 avec un premier revers aux élections du Sénat, où le PDJ prend la main. Après un an de gouvernance molle de Yasuo Fukuda, l’énergique Taro Aso devient à son tour premier ministre. Au plus fort de la crise financière, le riche héritier d’un cimentier dépense des fortunes dans les bars luxueux du quartier de Ginza, à Tokyo. Dans le même temps, des patrons d’industrie annoncent la réduction de leur salaire en signe de solidarité avec les employés qui se serrent la ceinture.
Dans ces conditions, le slogan du Parti démocrate, « La vie du peuple d’abord », sonne à l’oreille du Japonais de la rue. Tout comme son vaste programme de relance de la demande intérieure par une politique de la famille. Les électeurs semblent vouloir sanctionner l’immobilisme du parti libéral-démocrate, l’incompétence et les gaffes à répétition de nombre de ses ministres et députés, plus que leur gestion de la crise économique. Un ministre du tourisme, tout juste élu, avait expliqué, par exemple, que les Japonais ne souhaitaient pas accueillir de visiteurs étrangers. Un ministre des finances s’était présenté saoul à une réunion du G8 en Italie.

Une défaite anticipée par le parti au pouvoir

« Les membres du parti sont généralement peu éduqués, ils ont hérité de la circonscription de leur père en espérant la transmettre à leur fils », note Yoshihiro Sawada, ancien président de la banque Mizuho à Paris. « Dans ces conditions, les bureaucrates qui, eux, ont suivi un cursus équivalent à celui de Polytechnique ou de l’ENA peuvent facilement dicter leurs choix aux élus. Ces bureaucrates n’ont pas d’autre objectif que l’accroissement de l’influence de leur ministère. Le bien du pays et des Japonais leur importe assez peu. »
Symbole de cette vacance politique, le parti n’a plus de programme lisible. Taro Aso se contente de vanter son plan de relance (5 % du PIB) et le fragile retour à la croissance au deuxième trimestre 2009. « Nous avons échoué à expliquer les vertus du conservatisme. Nous regrettons de n’avoir pas envoyé un message clair ces dernières années », a-t-il même publiquement regretté jeudi 27 août lors d’un discours dans la métropole d’Osaka.
Mais si personne n’envisage à l'heure actuelle la victoire du PLD, certains craignent sa défaite. Quid, par exemple, du soutien historique de l’État au secteur des travaux publics ? La très puissante association patronale Keidanren peste contre la probable victoire de l’opposition. Ces partisans de la stabilité pour certains, de l’immobilisme de l’autre, pourront se compter à l’annonce des résultats. Rendez-vous dimanche 30 août à 20 heures pour les premières estimations – 13 heures, heure de Paris.

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Nokia présente son premier combiné équipé de Linux

 

REUTERS | 27.08.2009 | 17:46

Par Tarmo Virki

HELSINKI (Reuters) - Nokia a dévoilé jeudi son premier téléphone haut de gamme équipé du système d'exploitation libre et gratuit Linux.

Le premier fabricant mondial de combinés s'emploie à utiliser le logiciel 'open source', dont le code est public et modifiable, depuis 2005.

A cette époque, le fabricant l'avait équipé sur ses "tablettes internet", des appareils nomades de la taille d'un téléphone et permettant d'accéder au web mais le produit avait manqué son rendez-vous avec le grand public notamment du fait de l'absence de connexion mobile.

Son nouveau modèle N900, équipé cette fois-ci de la technologie cellulaire et disposant d'un écran tactile et d'un clavier coulissant, sera vendu à un prix avoisinant les 500 euros, hors subventions et taxes.

Le système d'exploitation de Nokia, le très solide Symbian, est installé sur la moitié des 'smartphones' (combinés multimédias) vendus actuellement, soit plus que ses concurrents Apple, Research in Motion et Google réunis.

Nokia a déclaré que Linux serait utilisé en parallèle avec Symbian pour ses produits haut de gamme.

"Il n'est aucunement question de mettre en danger Symbian", a déclaré à Reuters Anssi Vanjoki, directeur des ventes chez Nokia.

"L'open source Symbian sera notre plate-forme principale et nous continuons à la développer et à la faire grossir du mieux possible, à la fois en termes de fonctionnalités que de distribution (...), en équipant de plus en plus nos produits avec Symbian", a-t-il ajouté.

Le N900 sera doté d'un microprocesseur Cortex-A8 produit par ARM.

Linux est le plus populaire des systèmes d'exploitation libres, dits open source. Il est en concurrence avec Windows de Microsoft, que la firme de Redmond vend et dont le code source n'est pas modifiable librement.

Version française Patrice Mancino

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Wednesday, August 26, 2009

Pologne : un Noir disparaît de la dernière pub Microsoft

 

Business - Embarras du côté de Redmond qui pourtant a toujours joué la carte de la représentation des minorités dans sa communication.

Sale affaire pour Microsoft. Sa dernière campagne internationale de publicité a été curieusement modifiée en Pologne. Autour d'une table, des businessmen souriants. Petits problème : l'homme Noir figurant dans la pub originale a été grossièrement remplacé par un Blanc.

Nombreux ont été ceux qui ont remarqué l'ignoble stratagème puisque les mains sont restées noires. Seul le visage a été effacé et remplacé par celui d'un 'caucasien' comme disent les américains.

Racisme ?

Difficile d'accuser Microsoft de racisme, sa communication est depuis longtemps axée sur la représentation des minorités. Alors que s'est-il passé ?

Est-ce une initiative de l'agence de publicité locale ? Cette dernière a-t-elle reçu des pressions d'associations polonaises d'extrême-droite, on le sait, actives dans le pays ?

Le mystère reste entier. En attendant d'en savoir plus, Redmond s'excuse platement : "Nous étudions de près cette affaire. Nous nous excusons et sommes en train de retirer l'image".

 

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