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Monday, June 28, 2010

Les 10 qualités du bon chef de projet


Dans nos entreprises l'engouement autour de la gestion de projet n'est pas passée de mode. Bien au contraire, elle se développe et tend à supplanter la manière opérationnelle classique, de travailler. Si c'est une belle reconnaissance pour la méthode projet, c'est malheureusement aussi l'occasion de voir collés à la tête de projets importants des gens qui n'ont rien des qualités du chef de projet.
Et je ne parle pas seulement du manque de connaissance ou de maîtrise des outils et de la philosophie du management de projet, mais tout simplement des qualités que l'on est en droit d'attendre d'un chef de projet.
Quelles sont ces qualités ? Qu'est ce qui fait un bon chef de projet ?
1-La Responsabilité.
Who cares ? YOU care ! Le chef de projet est celui qui, plus que tout autre, croit en son projet, en sa valeur, son bien fondé, son intérêt pour l'entreprise.
S'il ne devait en rester qu'un ce serait lui, le chef de projet.
Cet engagement, cette attention aux choses est la marque primordiale des grands chefs de projet.
2-Initiateur de mouvement.
On arrive à rien tout seul. Plus qu'une maxime en l'air, cette phrase fait partie intégrante de l'identité du bon chef de projet. Il est protecteur de l'équipe, son équipe.
Le succès de chacun des membres du projet et son succès.
La réalisation des besoins des parties prenantes du projet son ses réalisations. Le chef de projet doit être comme une vague qui entraîne une partie de l'entreprise vers un but commun.
3-Humilité.
Il ne fait pas seul. Il a l'humilité de ceux qui sont conscient de l'impact de son engagement. Le résultat du projet est impermanent. Les choses changent (et même de plus en plus vite n'est-ce pas?) Le chef de projet est humble face à sa réalisation.
Enfin, de part l'essence même d'un projet, qui a un début, un milieu et une fin, il est amené à faire de l'humilité un composant essentiel de sa programmation personnelle.
Ceci peut s'étendre d'ailleurs à tous les grands managers, ou grands chefs d'entreprise. Ceux chez qui la réussite s'allie à l'humilité sont les plus grands. Ils ont conscience qu'une multitude de causes sont à l'origine de leurs succès et qu'il ne peuvent pas ne le devoir qu'à eux-même.
4-Confiance en soi.
C'est le corollaire obligatoire du point précédent. Initier un mouvement et le faire vivre demande cette confiance en soi. Rien d'exceptionnel, c'est là aussi une prise de conscience. Nous sommes tous capables de grandes choses, seulement ceux qui réalisent de grandes choses ont, eux, compris qu'ils le pouvaient. Ils ont essayé. Ils y sont arrivés.
Savoir conclure un projet et aller rendre des comptes demande aussi confiance en soi. Confiance en soi qui vient aussi de la confiance que les autres vous donnent parce que vous leur inspirez confiance en vous. L'œuf et la poule.
5-Exemplarité.
Rigoureux. Intègre. (Merci le dico des synonymes) Intransigeant avec soi-même et compréhensif avec les autres, voilà des caractéristiques du bon chef de projet. Moi je vois souvent des gens qui g*** après les autres alors que eux mêmes sont les pires des boulets. Ce qui me fait dire que malgré la multiplication des projets dans les entreprises, rares sont les entreprises qui possèdent de véritables chefs de projet.
6-Lucidité.
Le bon chef de projet sait rester concentré sur les activités réellement importantes. Il ne se perd pas dans les détails et sait emmener tout son monde à considérer l'objectif et les moyens de l'atteindre comme le seul objet d'attention valable. Fini les guéguérres et les rivalités d'ego. Tous ensemble dans la même direction. Voilà ce que sait faire le bon chef de projet.
7-Reconnaissance.
La beauté de ce métier c'est qu'il change tout le temps. Les sujets sont innombrables et les collègues sans cesse renouvelés. Par rapport à ceux qui font de la compta pendant 40 ans (y a-t-il des comptables dans l'audience de ce blog ?!) je trouve que les problématiques, les challenges sont sans cesse renouvelés. Lorsque le changement est choisi et non subi, alors on exerce le plus beau des métiers. Pour cela le bon chef de projet doit être reconnaissant. A qui ? A quoi ? Je n'en sais rien. mais cette reconnaissance est un fondamental de son être professionnel.
8-Curiosité.
Nouveaux sujets, nouvelles techniques. Le chef de projet est sans cesse remis en question par l'environnement professionnel. Le bon chef de projet est celui qui n'attend pas d'être challengé par les circonstances, ou pire, par des difficultés pour évoluer, se former et se perfectionner.
Il a la capacité d'apprendre. D'ailleurs le Project Management Institute ne s'y est pas trompé : il demande à chacun de ses membres ayant obtenu la certification PMP de montrer qu'ils continuent de se former en validant des PDU (Professional Development Units). Sans l'obtention du nombre nécessaire de PDU on perd sa certif'
9- Travailleur.
Le chef de projet est-il forcément celui qui allume la lumière le matin et l'éteint le soir en partant ? non pas forcément. Mais c'est quelqu'un d'extrêmement focalisé sur ses tâches. Qui les fait avec sérieux et rigueur. Comme si sa vie en dépendait (puisque la vie professionnelle de son équipe en dépend.)
Il est néanmoins conscient de l'importance de l'équilibre entre travail et vie privée. S'il ne se l'applique pas à lui-même, comment pourrait-il l'appliquer aux autres ? Or il se doit d'être le protecteur de son équipe.
10-Souriant.
Vous vous ne vous attendiez pas à ce que je finisse avec cette qualité là n'est-ce pas ? Et bien c'est pourtant la plus importante. Le sourire est la marque que les choses vont bien. De la conscience de la chance et de la juste place de son travail. Un chef de projet souriant c'est une équipe qui sourit, c'est un projet qui a toutes les chances de se réaliser, c'est la juste place de son travail dans sa vie. Si vous êtes membres d'une équipe projet regardez votre chef de projet. Sourit-il ? Si vous êtes chef de projet souriez !
Il existe trois types de chef de projet. Le Roi, celui qui donne ses ordres du haut de son trône et qui dispose d'une armée de vassaux pour les exécuter. Le Berger, qui mène son équipe à la réalisation du projet avec attention et professionnalisme. Enfin le Passeur, qui met tout le monde sur son bateau pour atteindre l'autre rive, et qui l'atteint en même temps que son équipe; tout projet l'ayant lui même fait évoluer.
Quel chef de projet êtes-vous ?

Auteur : www.managementetmoi.blogspot.com

Merci MJ :)

Sunday, June 27, 2010

Priorities: Your Life Compass

 

Priorities: Your Life Compass
Every time-management seminar that you will attend teaches the importance of prioritizing your tasks. Task A is the most important, so plan to do it first. Task B is second in importance, so do it next, etc. Unfortunately, many of these time-management techniques get you so involved in managing the mundane tasks of life, that this is what we focus on. We are stuck in "the thick of thin things" to quote Dr. Stephen R. Covey.

The truth is, no amount of simple task prioritizing will help you achieve your dreams until you first determine the highest priorities of your life, then get those priorities to find their way into your daily tasks and the daily prioritizing process.

The key to successful life management is to pick your priorities. We all juggle a number of balls in the air at all times. We might call them work, family, health, friends, spirit, or education. And we try to get through life without dropping any of the balls. But, many of us never take the time to truly identify what the important balls are for us, and to decide how much we value each. Until we do this, we can never truly prioritize anything else. Here's how you do it . . .

1. Write out a brief statement that describes each of the balls that you try to keep in the air. We'll call them life-priorities. What is it? Why is it important to you? What would you like to accomplish in each area? Be sure to take the time to write this out!! Thinking it through in your mind might be easier, but it loses effectiveness if you do not write it down. Include a brief description of each life-priority, an explanation of why each is important to you, and a list of major objectives that you would like to accomplish for each.

2. Once you have written something about each life-priority, prioritize them. Choose which life-priority is the most important to you, second, third, etc. This is a critical step because, what happens when work and family events collide? If you know where each life-priority stands in relative importance to the others, it will help you to make appropriate decisions in the moment of choice. This doesn't mean that if you prioritize family over work, for example, you will always prioritize family events over work events. This depends on the relative importance of each task in that category. But, it does give you direction when making these important decisions.

3. Make sure each daily "to do" list includes not just the mundane, urgent tasks that constantly fill our lists. Be sure to add tasks that will help you accomplish a major objective for each life-priority. Make a point of adding at least one important task for each life-priority each week.

4. When planning your daily tasks, use your life-priorities as a compass that gives you direction. Determine which task is most important at any given moment, by measuring them against the priorities that you have written. Then do it!

5. Review your life-priority compass each week to be sure you are on track. Remember, what gets your attention, gets you. If you take the time to review and focus on your highest priorities each week, they will naturally point your life in that direction.

6. Dump the guilt. If you have decided to do something based on your life-priority compass, you have earned the right to stuff the guilt. Many people go through life feeling guilty. When they are at home, they feel guilty about not spending more time at the office. When they are at the office, the feel guilty that they are not at home with their family. Guilt, guilt, guilt. Using a life-priority compass takes away the guilt and leaves you free to use your emotions in more constructive ways.

I challenge you to develop your own life-priority compass that will become a scale by which you can measure everything you do. It will help you achieve more while giving you more peace of mind.

  • By Bill Mansell
  • Published 02/18/2009
  • HPS s’offre le français ACP Qualife

     

    image001Les appétits de HPS se co nfirment à l’international. L’acquisition de la société française ACPQualife permettra d’accroître les positions de l’entreprise de monétique sur le marché européen, l’une de ses priorités du moment.

    C’est la première opération concrète de HPS dans le cadre de sa politique de croissance externe. Le chiffre d’affaires réalisé en Europe en 2009 est passé à 26% contre 10% l’année précédente. Aujourd’hui, l’objectif affiché est donc de consolider la position dans cette région. L’opération sera conclue en partie par un apport en cash représentant 40% du capital de ACPQualife. La seconde est une augmentation de capital de près de 37 millions de DH réservés aux actionnaires de la société française. ACPQualife est l’union de deux entités ACP et Qualife qui opèrent dans différents segments. La première est spécialisée dans l’intégration de solutions notamment dans la monétique, mais également l’édition de logiciels. Qualife assure la qualification des logiciels et leur test. Ce rapprochement viendra en support aux activités de HPS Europe. Selon Brahim Berrada, directeur financier de HPS, «cette opération nous permettra de renforcer notre offre d’intégration de solutions notamment. Le rapprochement devrait nous permettre de capitaliser sur l’expertise de ACPQualife afin de réduire les délais de développement». L’entreprise de monétique devrait capitaliser sur la forte présence de ACPQualife sur les marchés financiers. Celle-ci servira de base pour le développement du produit Powercard de HPS en Europe ainsi que le développement du logiciel Vision. D’ailleurs, la diversification de l’offre est l’un des principaux axes stratégiques de l’opérateur, ce qui rend plus pertinent l’acquisition de ACPQualife. La prise de contrôle de cette dernière devrait s’accompagner à court et à moyen terme d’autres acquisitions. «Nous avons certaines sociétés dans le viseur en ce moment», révèle Brahim Berrada. Côté Bourse, le marché est assez réactif face aux orientations stratégiques de la société. Depuis janvier, le cours HPS s’est apprécié de plus de 47%, atteignant un plus haut de 946 DH.

     

    Mots clés Google : ,

    One Droid X killer feature the iPhone 4 lacks

     

    The iPhone 4 is racking up the superlatives and sales numbers, but the Motorola Droid X is coming, packing one killer feature the iPhone lacks.

    Verizon will offer the Motorola Droid X with the 3G hotspot feature.

    Verizon will offer the Motorola Droid X with the 3G hotspot feature.

    (Credit: Verizon)

    Let me begin with a caveat: The Droid X is still untested in the field, so we won't know until after July 15 whether it harbors any serious user issues. That said, it already has me drooling over its impressive feature set and design.

    Though the 4.3-inch display (in the case of already-small smartphone displays, bigger is better), the Flash 10.1 support, DLNA streaming, and the Texas Instruments 1GHz ARM processor are nice, the icing on the cake is the built-in Wi-Fi hotspot--or what Verizon calls the 3G Mobile Hotspot.

    I've always been surprised at how many technologically savvy laptop toters still tether themselves to Starbucks or scurry around, seeking out the local Wi-Fi hotspot when on the road. Or worse, rely on the invariably abysmal Wi-Fi provided at conferences--and often at airports.

    I began using laptop 3G on a regular basis a few years back with an HP 2510p ultraportable business notebook, which integrated the Verizon EVDO-A silicon inside the laptop. To me, putting 3G in a laptop was a godsend. It allowed me to work almost anywhere, anytime.

    Eventually I moved to Verizon's MiFi mobile hotspot because I purchased an Apple MacBook Air (Apple doesn't offer any laptops with built-in 3G, which I have lamented in the past). But beyond the Apple issue, MiFi also has a serious upside: It frees you from being tied to one laptop--as current 3G contracts do when 3G is built into the laptop--because MiFi supports up to five devices.

    Now the Droid X proposes to do MiFi one better. Instead of carrying around both a MiFi and a 3G smartphone, you have it all in one nice, attractive package. And, like MiFI, it supports up to five devices. Presuming that Motorola and Verizon have implemented this feature relatively well, it makes an already attractive Droid X almost irresistible, even with the extra $20 monthly fee tacked on for a 2GB data plan, as Verizon has stated. (Note that this is cheaper than most 3G data plans.)

    After all, this is what true integration is all about. Taking something that was previously a discrete, external device (like a camera) and bringing it inside. And in spite of the media's round-the-clock laserlike focus on the iPhone 4 (which, admittedly, I participate in), I will be taking a good, long look at the Droid X.

     

    Utilities try to get smarter about selling smart grid

     

    WASHINGTON--It's probably not news to their customers, but utility company executives are now realizing that they're not great at marketing.

    For years, the smart grid has been touted by policymakers, tech companies, and utilities as a way to make the grid more reliable, efficient, and cleaner. But for the most part, surveys show that consumers are still struggling to understand how a digital grid and two-way smart meters matter to them.

    Having seen the backlash from smart meter installations in California, utilities are now acutely aware of how important it is to convey the benefits of new grid technologies, according to executives at the Kema Utility of the Future conference here on Thursday.

    In many discussions, speakers said consumers need to come along for the years-long ride of adding new technology to the grid. To get consumers involved, utilities need to shift from treating them like a monolithic block of ratepayers to customers they want to retain.

    "The relationship with homeowners is just beginning," Michael Morris, the CEO of utility AEP, said during a panel discussion. "There is no sex appeal to (playing) around with an electricity meter as there is streaming a baseball game on their iPhone or iPad, so we need to be a bit respectful of what that relationship is."

    Utility customers in the U.S. expect reliable service and power when needed. But going forward, consumers will want better ways to manage and reduce their energy use for economic reasons, said Duke Energy CEO Jim Rogers.

    Although electricity prices have dropped significantly in the past two years because of the recession, the pressure on prices is upward given the worldwide demand on energy resources and growing electricity use in general. Helping consumers manage those price increases with efficiency measures is in the interest of utilities, too, since customers will feel more in control, Rogers said.

    But just installing smart meters without a good informational and marketing campaign is a mistake, particularly if it's seen as taking choice away from consumers, he said.

    "To make smart meters work, you have to follow up quickly with an audit and provide a suite of products that provide some benefit and make clear this isn't a 'Mother knows best' world. You can choose," Rogers said. "That reduces the chance of blowback."

    Not about technology
    Many of the features promised by smart-grid advocates can be done with existing technologies, but they do require participation from customers, as well as customer education. So rather than rush headlong into the smart grid, some companies are treading lightly and slowing.

    Michigan utility Consumers Energy this month will roll out two programs geared at cutting back electricity usage in homes and in both cases, it's using relatively old technology to get it done.

    "The intent is not to figure out if the technology works, it's more about the customer marketing message," said Stephen Hirsch, the manager of demand response programs at Consumers Energy. "The biggest barrier was the suspicion on the part of the customer as to why we are doing this. There seems to be a problem with the consumer understanding our business model."

    A model of the smart grid, where energy flows in two directions and consumers have more control.

    (Credit: EPRI)

    In one demand-response program in the Grand Rapids area, the utility will reduce load on the grid during about 10 hot summer days a year by remotely controlling consumers' air conditioners. A signal sent over the utility's existing network will shift central air conditioners from running at 100 percent to 50 percent for four hours in the afternoon, which will result in a one- or two-degree temperature increase, Hirsh explained.

    In exchange for shedding load during a time of stress on the grid, the customer gets a rebate. The benefit for the utility is that it does not have to purchase expensive electricity, which is often made with polluting "peaking plants," or have to build new transmission lines to meet peak demand. Cutting the utility's energy accrues to the consumer as it lowers its operating costs, Hirsh said.

    Most consumers say they are willing to use a smart device, such as a smart meter, appliance, or thermostat, if it will help them better manage their energy, according to a recent poll by General Electric. And the combined impact of thousands of efficiency events can mean avoiding the construction of new power plants and power lines.

    But for these products and programs to work, it has to be simple and easy to use for customers, and there need to be variable pricing that reflects the cost of energy on the wholesale market.

    "We've got to make it simple so that it's programmable and you just set it once," said Terry Boston, the CEO of grid operator PJM. "We have to see how well the customer can interface with the grid and how their use patterns can impact the grid."

    Finding what works
    Emerging smart-grid technologies pave the way for people to have more control over their energy, letting a person, for example, use a smart phone to monitor electricity or turn on the air conditioning just before getting home.

    How quickly the utility providers can adapt their businesses to deliver that sort of capability is a big question, said David O'Brien, the commissioner of the Vermont Department of Public Service.

    Photos: GE's smart grid kitchen of the future

    "For a 100 years, utilities have been responsible for running the grid on our behalf. I've seen reticence to go into this very dynamic environment where customers are making thousands of choice on how to use electricity based on information," O'Brien said.

    New technologies, such as smart meters, home energy dashboards, or microgrids with community storage, are also expensive and can be difficult to get regulators to sign off on. Baltimore Gas & Electric was shocked this week when the Maryland regulators rejected a smart-grid investment proposal because it did not demonstrate enough benefit.

    In the meantime, utilities are experimenting with smart-grid programs, which received a boost from billions of dollar in stimulus spending. Beyond what the technology can do, utilities are eager to see how consumers react to a life where using energy means more than writing a check for a monthly bill.

    Municipal utility Chattanooga Electric Power plans to let consumers view their electricity usage on a TV using IPTV, said David Wade, the executive vice president and chief operating officer.

    "One of challenges is to understand how to implement software to provide options to customers where they don't have to sacrifice comfort and convenience and help them manage energy costs," he said.

    Martin LaMonica is a senior writer for CNET's Green Tech blog. He started at CNET News in 2002, covering IT and Web development. Before that, he was executive editor at IT publication InfoWorld. E-mail Martin.

     

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