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Translation-Traduction

Wednesday, December 10, 2008

La super 3G en test au Japon

 

 

La vitesse descendente testée de 300 Mbits/s laisse entrevoir des applications comme la vidéo haute définition ou des téléchargements à très haut débit sur des appareils mobiles.


La société nippone de téléphonie mobile NTT DoCoMo vient de commencer les tests de ce que l'on appelle la super 3G. Ce nouveau système de communication mobile permet des débits de communication descendante de 300 Mbits/s. Le débit de communication ascendant serait lui de 100 Mbits/s, soit 260 fois plus rapide que la 3G actuelle.

Cette technologie est un mélange optimisé de la norme HSDPA (High-speed Downlink Packet Access) et de la norme HSUPA (High-speed Uplink Packet Access). Ces normes sont issues du standard W-CDMA, validé par le 3GPP. La super 3G, ou encore 3.9G, pourrait prendre le nom de 3G LTE (Long Term Evolution). Cette technologie permet une meilleure utilisation du spectre et des temps de latence réduits. Rappelons que pour l'Europe, la 3G est basée sur la technologie UMTS.

La super 3G sera testée en laboratoire en utilisant la technique MIMO (Multiple Input Multiple Output). Deux séries de quatre antennes en émission et réception devraient être suffisantes pour réaliser cette performance. La technologie MIMO possède la particularité de jouer avec les réflexions du signal radio sur les murs, les parois et les autres éléments qui se trouvent sur les chemins des ondes radio, afin d'améliorer la transmission du message. Il faut noter que, jusqu'alors, la réflexion était plutôt considérée comme une gêne dans l'utilisation des technologies sans fil.

Ces tests seront aussi pour NTT DoCoMo l'occasion de tester la technique du handover ainsi que des techniques de transmission voix et données. La volonté des ingénieurs est de rendre compatible la super 3G avec les standards de la haute définition. Ainsi, la vidéo HD deviendrait une réalité sur les portables du futur. L'opérateur nippon souhaite grâce à ces tests présenter la 3G LTE sous ses meilleures facettes avant l'arrivée de la 4G vers 2011-2012.

DoCoMo travaille avec le constructeur japonais NEC

Côté fournisseurs, DoCoMo travaille avec le constructeur japonais NEC sur des équipements téléphoniques capables de supporter la super 3G. Le lancement commercial du réseau aura lieu en 2009. D'autres compagnies travaillent sur la technologie LTE au nombre desquelles on trouve Alcatel-Lucent, Ericsson et Siemens Network.

Le marché de la super 3G devrait valoir 18 milliards de dollars d'ici à 2014. Mais pour ce qui est du marché français, la 3G tout court n'a pas encore réussi son implantation. Des constructeurs comme RIM et Apple ont décidé de ne pas inclure la norme 3G dans les derniers produits de leur gamme, tels le Blackberry 8820 et l'iPhone, lui préférant la norme Edge.

 

On note enfin que le débat sur la nocivité des transmissions sans fil sur la santé vient de rebondir dans l'actualité au sujet du Wi-Fi. Nul doute que la popularisation des techniques de transmission haut débit par téléphone posera la question de la nocivité de ce type de pratiques à bien des acteurs de la santé publique.

LES TECHNOLOGIES DE TELEPHONIE MOBILE

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Friday, November 28, 2008

Google a triché pour créer son application Mobile sur iPhone

 

 

C'est ce qu'on appelle se faire prendre les mains dans le pot de confiture. Un porte-parole de Google a admis cette semaine que ses développeurs avaient utilisé une API non disponible officiellement dans le kit de développement (SDK) de l'iPhone pour porter leur application Mobile sur le smartphone d'Apple. Cette API permet d'utiliser le capteur de proximité de l'iPhone pour activer la reconnaissance vocale et ainsi permettre à une application d'être contrôlée à la voix, ce qui est le cas du logiciel de géolocalisation de Google.

Théoriquement les développeurs qui travaillent pour l'iPhone ne sont censés utiliser que les API comprises dans le SDK d'Apple ; API qui sont documentées et qui devraient rester parfaitement fonctionnelles lors des prochaines mises à jour du smartphone. Or, là est le coeur du problème : en utilisant une API non documentée et non autorisée par Apple, Google risque de voir son application Mobile ne plus fonctionner à la prochaine mise à jour.

Google doit récrire une partie du code du logiciel

Par ailleurs, on ne sait pas non plus pourquoi Apple a autorisé la mise à disposition de Google Mobile sur l'App Store. D'après les termes de la licence du SDK pour l'iPhone, les logiciels utilisant des technologies comme celles du capteur de proximité ne sont normalement pas proposés via l'App Store. Négligence du service de vérification de l'App Store ou laisser-faire vis-à-vis d'un logiciel provenant de Google, Apple n'a pas souhaité en dire plus sur le sujet.

Toujours est-il que Google risque fort de devoir revoir la copie de son Mobile sur iPhone, et ses développeurs de récrire une bonne partie du code du logiciel afin de rester en conformité avec les termes d'utilisation du SDK de l'iPhone.

Pour en savoir plus :
Google veut préinstaller Chrome sur les PC de constructeurs
Google passe aux vidéos sponsorisées sur YouTube
Smartphones : Apple devient numéro deux derrière Nokia
Apple cartonne avec son iPhone 3G mais reste prudent

Vincent Birebent, ZDNet France

Nokia se retire du marché japonais

 

 

Nokia se retire du marché japonais

N’étant pas parvenu à percer sur le marché nippon, le constructeur finlandais vient d’annoncer qu’il arrêtait ses ventes au Japon. Seule la marque de grand luxe Vertu sera encore présente.

Nokia a beau être le fabricant n°1 mondial de téléphones mobiles, il est encore des pays qui lui résistent. C'est le cas du Japon, où les ventes du constructeur finlandais sont si décevantes qu'il a fini par jeter l'éponge en annonçant y cesser ses ventes de téléphones mobiles. Après les Etats-Unis, la Chine et l'Inde, le Japon est le quatrième plus gros marché pour la téléphonie. Nokia y avait de grandes ambitions, espérant atteindre une part de marché à deux chiffres. L'année dernière, les téléphones de la marque ne représentaient que 0,3% des ventes...

Cet échec n'est pas forcément imputable à Nokia. D'autres avant lui se sont aussi cassé les dents, comme LG ou Samsung. Selon des chiffres du cabinet IDC, les marques étrangères ne pèsent que 5% des ventes de téléphones au Japon. La raison principale tient aux spécificités de ce marché qui est techniquement plus avancé avec un réseau haut débit de troisième génération et des services évolués comme la diffusion TV ou le règlement des achats. Très friands de gadgets, les Japonais ne sont pas emballés par des modèles de téléphones étrangers qu'ils jugent pas assez évolués.

Petite consolation pour Nokia qui va tout de même poursuivre la commercialisation de sa marque hyper luxe Vertu, des téléphones fait main avec des matériaux précieux. (EP)

Friday, November 7, 2008

Wi-Fi : Des chercheurs cassent la protection WPA en 15 minutes

 

IDG News rapporte que deux chercheurs ont trouvé le moyen de casser en très peu de temps la protection WPA des réseaux Wi-Fi actuels. Les deux complices se sont spécialement attaqués à la protection WPA TKIP (Temporal Key Integrity Protocol), qu'ils semblent bien avoir mise à terre.
La méthode consiste à se faire tout d'abord envoyer une grande quantité de données par le routeur Wi-Fi ciblé. Ensuite, les chercheurs ont élaboré un procédé mathématique pour trouver la clé WPA grâce aux paquets de données récoltés. Le calcul prend entre 12 et 15 minutes, selon Erik Tews et Martin Beck, les deux compères à l'origine de l'astuce.
WiFiCette méthode ne fonctionne en revanche pas du tout en interceptant des données échangées entre le routeur et un autre ordinateur, ce qui pose une grosse limite à cette faille : comment se faire envoyer une grande quantité de données par le routeur sans connaître au préalable la clé WPA ? Les deux chercheurs ont semble-t-il trouver le moyen de trafiquer le routeur pour se faire envoyer une grande quantité de données sans avoir de clé WPA, mais la méthode fonctionne-t-elle sur tous les routeurs ?
Quoi qu'il en soit, cette attaque est bien plus rapide qu'une « brut force attack », même celle utilisant un dictionnaire de mots de passe. Les deux chercheurs vont détailler leur découverte au cours de la conférence PacSec qui se déroule la semaine prochaine à Tokyo. Ils ont déjà intégré discrètement une partie du code de leur attaque dans le logiciel Aircrack-ng, et dévoileront plus de code encore dans une publication scientifique académique.
Une actualité qui tombe assez mal en plein débat sur le projet de loi Hadopi en France : le texte menace de suspension d’abonnement jusqu’à un an les abonnés qui n’auront su sécuriser leur ligne.

Sandisk ‘booste’ les disques durs Flash

 

 

07-11-2008

Par David Feugey


Une accélération d’un facteur de 100 est évoquée pour les opérations d’écritures aléatoires

Sandisk veut révolutionner le monde des modules SSD (Solid State Drive) avec son système de fichiers ExtremeFFS. Digne remplaçant du TrueFFS, celui-ci propose de multiples optimisations.

Il découpe tout d’abord le disque en pages mémoires, une méthode plus adaptée aux composants Flash que l’émulation des caractéristiques d’un disque dur classique. En cas d’écriture, ExtremeFFS se charge de trouver l’emplacement ad hoc, qui sera le plus rapidement accessible.

De plus, tous les canaux du module Flash sont accessibles simultanément. Il est donc possible d’effectuer simultanément des opérations de lecture, d’écriture et d’effacement. Tout ceci permet, selon Sandisk, de multiplier la vitesse d’écriture aléatoire par 100. Il conviendra toutefois de noter que le débit maximal du disque, lors d’une unique opération, risque fort de ne pas changer.

La compagnie compte intégrer ce système de fichiers dans ses modules Flash courant 2009. Nous ne savons toutefois pas si elle le distribuera à des constructeurs tiers sous licence.

Sandisk propose également des méthodes de comparaison des disques SSD. Le vRPM (virtual Revolutions Per Minute) permettra de comparer les modules Flash aux disques durs classiques (ou entre eux). Le LDE (Long-Term Data Endurance) évalue pour sa part la durée de vie d’un disque SSD.

Ces deux initiatives, si elles sont suivies par les autres constructeurs, permettront aux consommateurs de mieux comparer les produits entre eux.

Les Californiens ont adopté par référendum une ligne longue de 1100 km qui reliera San Francisco à Los Angeles.

 

La Californie aura son TGV
en 2015 

Arnold Schwarzenegger en rêve depuis qu'il est gouverneur de Californie. Les Californiens l'ont exaucé. Dans la série de référendums qui accompagnaient le scrutin présidentiel, ils ont voté mardi en faveur du TGV San Diego-Sacramento. C'est un projet à 41 milliards de dollars : 10 milliards financés par l'État de Californie et 31 milliards issus d'un partenariat public-privé. Cette ligne, qui entrera en service en 2015, représente une révolution culturelle dans un pays où l'avion et la voiture règnent en maîtres.

Le TGV est pourtant devenu indispensable dans un État où la population devrait doubler d'ici à dix ans et où les autoroutes comme les aéroports sont saturés. «Nous avons besoin d'un train à grande vitesse, déclarait fin septembre Arnold Schwarzenegger. Notre système ferroviaire en Amérique est dépassé. Nous circulons à la même vitesse qu'il y a cent ans.»L'intérêt de la Californie pour la grande vitesse était connu. Le 3 avril 2007, Alstom, le constructeur du TGV français, avait accueilli une délégation à bord de la rame qui a battu le record du monde de vitesse. En août 2008, Dominique Bussereau, secrétaire d'État aux Transports, a vanté le TGV français auprès de son homologue californien.

Les Français poussent leurs pions

Les travaux promettent d'être pharaoniques. La future ligne longue de 1 100 kilomètres qui comptera une trentaine de gares longera le littoral entre San Diego et San Francisco, en passant par Los Angeles, puis traversera les montagnes de la Sierra Nevada pour rejoindre Sacramento. Arnold Schwarzenegger a débloqué 100 millions de dollars l'an dernier pour les études préliminaires, qui ont été réalisées par la société d'ingénierie Systra, filiale de la SNCF et de la RATP, en collaboration avec la société américaine PB.

Les Français sont donc déjà dans la place et comptent pousser leurs pions. Selon nos informations, la SNCF et Veolia, déjà implanté en Californie, ont réfléchi à faire candidature commune pour l'exploitation du futur TGV californien. Mais il y a un problème. La SNCF pourrait avoir à trouver un autre partenaire. Car Veolia n'a plus bonne presse en Californie depuis l'accident de train sur une ligne que le groupe exploite et qui a coûté la vie à 25 personnes.

Alstom a également les yeux braqués sur le projet. «Nous sommes intéressés par la partie infrastructures et évidemment par le matériel roulant», a indiqué hier Patrick Kron, président du groupe. Un tel marché pourrait représenter 50 à 100 trains, soit un contrat de 1,6 à 3,4 milliards de dollars. Alstom devrait être opposé à l'allemand Siemens et au japonais Hitachi, constructeur du Shinkansen. La vitesse du futur train pourrait les départager. La ligne a été conçue pour 404 km/h, ce qu'aucun TGV n'a encore atteint en vitesse commerciale.

Chute de 78% du bénéfice de Lenovo au 2e trimestre

 

Chute de 78% du bénéfice de Lenovo au 2e trimestre

Chute de 78% du bénéfice de Lenovo au 2e trimestre

Le bénéfice de Lenovo a baissé de 78% au deuxième trimestre, une chute accompagnée d'une baisse des livraisons et des marges, la demande technologique souffrant de la crise financière mondiale.

 

Lenovo Group annonce une chute de 78% de son bénéfice au deuxième trimestre, accompagnant une baisse des livraisons et des marges, la demande technologique souffrant de la crise financière mondiale.

Le quatrième constructeur de PC mondial, derrière Dell, Hewlett-Packard et le taïwanais Acer, a fait état d'un bénéfice net de 23,44 millions de dollars sur le trimestre clos fin septembre contre 105,26 millions un an auparavant et un consensus Reuters Estimates de 91,80 millions.

Lenovo a aussi réalisé un chiffre d'affaires stable de 4,3 milliards de dollars, dont 1,9 milliard en Chine continentale et 1,1 milliard aux Amériques.

Lenovo, disposant d'un bilan solide, a dit envisager des acquisitions, d'autant que son concurrent Acer a racheté l'européen Packard-Bell l'an passé.

Au cours des deux derniers mois, des sources proche du japonais Fujitsu ont dit que ce dernier discutait avec Lenovo dans le but de lui vendre la division PC de Fujitsu Siemens tout en conservant les serveurs.

Deux sources ont dit que les discussions se poursuivaient avec Lenovo, autour en particulier de réductions d'effectifs et de négociations avec les syndicats de Fujitsu Siemens Computers.

L'action Lenovo a chuté de 11,9% vendredi. Elle a plongé de 36% entre juillet et septembre alors que dans le même temps l'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong cédait 18,5%.

Wednesday, October 8, 2008

AMD splits into Two

 

 

Chipmaker Advanced Micro Devices(AMD) pulled a shocker late last night - the wafer maker announced of its joint venture with some deep pocketed investors in Abu Dhabi that results to a spinoff called Foundry Company.

According to the deal Abu Dhabi's Foundry Company will take over AMD's two bakeries in Germany and also a new pet shop that's being built in New York.

Abu Dhabi have shelled out $700 million for AMD to gain a 56 per cent stake in the spinoff. AMD retains the remaining 44 per cent.

The movie by AMD is obviously to cut costs and compete better with rival chip maker Intel. Another entity backed by the Persian Gulf state, Advanced Technology Investment Co, will invest $2.1 billion for a stake in Foundry Co, which also will assume about $1.2 billion of AMD's existing debt.

In case you didn't already know AMD is in deep financial gutters. The company's shares have fallen by 44 percent since Jan 2008 and losses of $1 billion has been reported. With this new deal, AMD will focus on what it does best, to make competitive CPUs, a feat that is currently owned by rival Intel.

Another silver lining for AMD is that the 45nm Shanghai chips have almost reached the shores. Although Shanghai and Deneb CPUs are a generation away from the new Intel's Core i7.

Wednesday, September 3, 2008

Test - Google Chrome, presque nickel

 

 

Google Chrome à côté de Internet Explorer

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Tout le monde en parle sur le Web. Sites informatiques et blogueurs font les yeux doux au nouveau navigateur Internet de Google, le déjà célèbre Chrome. Et le testent sans le ménager.... Voici un premier aperçu de la bête que vous pouvez

La vitesse !
Google promet "un navigateur pas comme les autres" mais la révolution n'est pas à chercher très loin : le navigateur est une formule 1. Les développeurs de chez Google se sont basés sur ce qui se fait de mieux (le Webkit d'Apple) et ont développé une nouvelle technologie pour le JavaScript, le V8. Peu importent ces détails techniques, le résultat est là. On n'a jamais eu l'impression de surfer aussi vite sur le Web.  Une impression confirmée par les tests techniques du site américain News.com.
L'interface
L'idée de placer les différents onglets de navigation au dessus de la barre d'URL (l'adresse des sites) s'impose comme une évidence. La grande nouveauté est Omnibox : une zone qui fusionne la barre d'adresse URL et un moteur de recherche. C'est à la fois un gain de place et de temps et donc simplement génial. Nul doute qu'elle sera reprise dans les autres navigateurs et que l'on ne pourra bientôt plus s'en passer. Pour éviter des procès sur fond de concurrence déloyale, Google propose déjà de la lier à d'autres outils de recherche que le sien.  Yahoo, Microsoft et même le Français Orange sont de la partie.
Autre bonne idée, le logiciel affiche des miniatures des sites Web les plus visités dans chaque nouvel onglet. Ils deviennent donc accessibles en un clic. Ces nouveautés sont présentées dans de petites vidéos au ton un peu "maître d'école" , comme celle des onglets dynamiques :

L'affichage
Google Chrome est encore en rodage et certains sites apparaissent un peu "cassés". Des corrections devront être apportées du côté de l'interprétation des feuilles de style pour y remédier mais pour Google, l'origine du problème est à chercher du côté de certains sites web qui ne seraient pas au "standard HTML". Sur certains sites, comme le nôtre, les polices de caractères apparaissent un peu pixélisées, peut-être à cause d'un lissage moins bien géré que sous Internet Explorer. Le prix de la vitesse?
Le design
La marque de fabrique de Google, la simplicité, est au rendez-vous. Mais à trop jouer le coté épuré, le résultat est parfois un peu pataud, limite "Fisher Price". Chacun appréciera...

 

Un bug dans
Google Chrome

Le "plantage"
Comme tout logiciel, Google Chrome plante... Mais il plante avec classe. L'avantage de gérer chaque onglet ou fenêtre comme une application à part entière permet de ne pas bloquer toute l'application mais simplement un site. Google le reconnait, il a encore des progrès à faire en terme de stabilité. Il ne faut pas oublier que Google Chrome est encore en version bêta (pas achevée).
La discrétion
Un mode incognito ou de "navigation privée" a été conçu par Google. Si vous l'activez, via un simple raccourci-clavier par exemple, les sites que vous consultez  ne laisseront aucune trace sur votre ordinateur (dans l'historique ou le gestionnaire de  cookies). Rien de tel pour préparer un anniversaire surprise en toute discrétion, ou pour consulter des sites adultes sans se faire repérer. A vous de choisir...
Le bonus : les coulisses du logiciel
Google propose sur son site officiel, à la manière d'un Bonus DVD, de suivre la genèse de son nouveau navigateur. Forcement, cela sonne un peu pub, mais cela vaut le détour :

Monday, August 25, 2008

Microsoft, 10,000 new servers every month? | Servers and Storage |

 

Microsoft is investing a lot in new data centers. According to a report on News.com, they’re buying upwards of 10,000 new servers every month. What does one do with that many boxes?

——————————————-

Over on TechRepublic sister site News.com, Ina Fried discusses how Microsoft is building new data centers at an incredible rate. They are literally bringing servers by the container-load and setting them up in shiny new - and massive - data centers. As Ina discusses in the article, and ZDNet blogger Mary Jo Foley pointed out back in May, Microsoft is installing new servers at a rate of 10,000 per month.

Installing 10,000 servers a month is an absolutely astounding rate.  In a typical month, that’s 333 servers per day, 13 servers per hour, or one every 15 minutes.  Depending on how much I type, or how poor your reading skills are, Microsoft could install 2 servers before you’re done reading this entry.

Microsoft is spreading these servers around in data centers all over the planet.  There are centers going in Washington, Texas, Illinois, and Ireland. That’s on top of the centers it’s already managing.

Why so many and all over the place? Several reasons. First, the centers are located in different places to reduce bandwidth usage and latency times. Locating a major data center in Ireland for example improves service to European customers.  Users there will experience much better performance than if all of the information was pulled across the Atlantic.

Beyond that however, Microsoft needs that much equipment to support all of the Live services it offers on the web. From the Live.com search engine, to Windows Live, Office Live, and xBox Live, Microsoft has to install servers at a blinding rate to keep the services reliable and responsive.  Just to support Live Search, Microsoft uses 80,000 servers.  It’s no wonder they’re building new centers so quickly.

What would you do?

What would you do with 10,000 new servers every month?  I have no idea where I’d begin. It just seems like too big of a number to get my head around.

Source: Techrepublic

Thursday, August 21, 2008

La PS3 160 Go et la PSP 3000 arrivent en Europe : prix et dates

 

 

Que se passe-t-il à Leipzig (Allemagne), ville d'accueil de la fameuse Games Convention, où les deux zouaves d'INpact Virtuel, Gizmo et Pete Boule, déambulent un peu partout ? Tout plein de choses, notamment du côté du Japonais Sony.
PS3 manette clavier Commençons par la PS3, qui non seulement verra sa déclinaison 80 Go disponible dès demain dans nos contrées pour 399 €, mais aussi sa déclinaison 160 Go deux mois plus tard, plus précisément le 31 octobre prochain.
Les 80 Go supplémentaires coûteront cependant la somme de 50 €, soit 449 € la console. Un bon de 70 € afin de télécharger du contenu sur le Playstation Store sera par contre offert. De quoi compenser cette hausse de prix.
Autres annonces importantes, le fameux LittleBigPlanet verra le jour le 29 octobre 2008, tandis que la Play TV est prévue pour sa part pour le 19 septembre. Enfin, cerise sur le gâteau, il sera possible de transformer sa manette PS3 en clavier, en "clippant" ce dernier à sa manette.
Sans fil, ce clavier pas comme les autres servira évidemment pour le surf, mais aussi pour les jeux, notamment en multi. Son prix ? Inconnu au bataillon pour l'instant.
Du côté de la PSP, la version 3000 a été officialisée. Sortie prévue pour le 15 octobre. Le mois d'octobre sera Sony, assurément. Intégrant un micro, la PSP 3000 sera déclinée en plusieurs coloris et coûtera la bagatelle de 199 €.

PSP 3000 blanchePSP 3000 noire

Friday, August 15, 2008

Core i7 : la nouvelle gamme de processeurs chez Intel

 


Logo : Intel Corei7

On connaît désormais l’identité du successeur du Core 2 Duo chez Intel. Il s’agira du Core i7. La gamme devrait être lancée à la fin de l’année.

Les informations tombent successivement. Après en avoir appris plus sur Nehalem, le nom de code donné à l’architecture des futurs processeurs et sur le changement de Socket qu’impliquent les nouvelles fonctionnalités du processeur, Intel vient de dévoiler la dénomination officielle de la prochaine série. Il s’agira donc de Core i7. On garde la référence Core et comme on peut le voir sur les logos, on garde aussi le même code couleur qui permettra de distinguer la gamme classique (logo bleu) de la gamme Extreme Edition, le haut de gamme de chez Intel (logo noir).

Les petits malins qui ont tenté d’expliquer l’utilisation du chiffre 7 ont émis comme hypothèses le nombre de lettres compris dans Nehalem ou la référence au futur système d’exploitation que devrait équiper le processeur, Windows Seven. La série Core 2 Duo de chez Intel ne disparaîtrait pas pour autant. Elle équipera encore de nombreux ordinateurs pendant plusieurs années.

Facebook Tops MySpace as Social Sites Globalize

 

 

The social networking arms race has gone global. According to a recent report form online metrics firm comScore (NASDAQ: SCOR), social networking sites like Facebook, MySpace, Orkut, Bebo and Hi5 have collectively seen their traffic rise by 25 percent over the last year.

Of course, the popularity contest is usually dominated by talk of Facebook vs. MySpace. In April, Facebook overtook MySpace to become the world's largest social network. The new report shows the Facebook posted 153 percent growth in unique visitors from June 2007 to June 2008. In that same period, MySpace grew just 3 percent.

In June, Facebook logged 132.1 million unique visitors, compared to MySpace's 117.6.

comScore credits much of Facebook's global surge to its translation applications, which has enabled more than 15 foreign-language versions of the site.

The news serves as but the latest reminder of the importance of global audiences to online media brands -- particularly as North American advertising revenues and user growth slow.

Overall social networking growth in North America, up just 9 percent from June 2007 to June 2008, appears to be leveling off. In emerging markets, however, traffic to the social sites is still increasing rapidly. The number of unique visitors to social networks in Africa and the Middle East increased 66 percent, comScore found.

"While the social networking trend first took off in North America, it is beginning to reach a point of maturity in the region," Jack Flanagan, comScore executive vice president, said in a statement. "However, the phenomenon is still growing rapidly in other regions around the world -- especially as the established American brands turn their focus to developing markets."

The second-biggest gainer was Hi5, which saw its global reach double to more than 56,000, a jump which comScore attributes to its localization strategy. Also posting impressive gains in global reach were the social networks Friendster (50 percent), Orkut (41 percent) and Bebo (32 percent).

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Facebook Tops MySpace as Social Sites Globalize

 

 

The social networking arms race has gone global. According to a recent report form online metrics firm comScore (NASDAQ: SCOR), social networking sites like Facebook, MySpace, Orkut, Bebo and Hi5 have collectively seen their traffic rise by 25 percent over the last year.

Of course, the popularity contest is usually dominated by talk of Facebook vs. MySpace. In April, Facebook overtook MySpace to become the world's largest social network. The new report shows the Facebook posted 153 percent growth in unique visitors from June 2007 to June 2008. In that same period, MySpace grew just 3 percent.

In June, Facebook logged 132.1 million unique visitors, compared to MySpace's 117.6.

comScore credits much of Facebook's global surge to its translation applications, which has enabled more than 15 foreign-language versions of the site.

The news serves as but the latest reminder of the importance of global audiences to online media brands -- particularly as North American advertising revenues and user growth slow.

Overall social networking growth in North America, up just 9 percent from June 2007 to June 2008, appears to be leveling off. In emerging markets, however, traffic to the social sites is still increasing rapidly. The number of unique visitors to social networks in Africa and the Middle East increased 66 percent, comScore found.

"While the social networking trend first took off in North America, it is beginning to reach a point of maturity in the region," Jack Flanagan, comScore executive vice president, said in a statement. "However, the phenomenon is still growing rapidly in other regions around the world -- especially as the established American brands turn their focus to developing markets."

The second-biggest gainer was Hi5, which saw its global reach double to more than 56,000, a jump which comScore attributes to its localization strategy. Also posting impressive gains in global reach were the social networks Friendster (50 percent), Orkut (41 percent) and Bebo (32 percent).

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Thursday, August 14, 2008

Big bug VMWare ESX: le CEO fait son mea culpa

Cyberpouvoirs

Paul Maritz, le nouveau CEO, présente ses excuses et promet de tout faire pour éviter que cela se reproduise

Effectivement, VMWare s’est montré discret sur la découverte du 'bug' évoqué hier, ce 13 août. Mais le lendemain, le PDG Paul Maritz en personne est intervenu via une lettre ouverte sur le site Web de l’entreprise pour s’excuser de « cette interruption et les difficultés qu’elle a occasionnées à nos clients et partenaires
Une belle entrée en matière pour le nouveau CEO qui vient de prendre son poste il y a à peine un mois !
Faute avouée…
Le dirigeant a reconnu que les développeurs avaient négligemment oublié d’ôter une partie de code dans la mise à jour "Update 2" de ESX 3.5 et ESXi Server 3.5.
Cette négligence est consécutive au passage de la version bêta à la version finale.
Paul Maritz précise : « Nous avons failli sur deux points : en ne supprimant pas ce code dans la version finale de l’Update2, et en ne détectant pas ce problème lors de nos processus de qualité internes ! »
Enfin, il assure que les équipes vont revoir de fond en comble le processus d’assurance qualité afin d’effectuer les modifications nécessaires afin que ce genre d'incidents ne survienne plus.
Un antidote vite déployé
Notons que deux heures après la première alerte, VMWare avait publié un correctif, dans des versions distinctes pour ESX 3.et ESXi Server 3.5. Plusieurs forums d’utilisateurs confirmaient par la suite l’efficacité de ce 'patch'.
Bonne réactivité, communication franche et directe, humilité bien dosée. Chapeau bas !

La 3G fait décoller la fréquentation des sites depuis l’iPhone

 

 

L'effet iPhone 3G se fait sentir sur la fréquentation des sites internet : selon les dernières données de Médiamétrie, les visites en provenance de téléphone d'Apple sur les sites internet ont augmenté de 33% depuis le 17 juillet, date du lancement de l'appareil en France.

Avant cette date, Médiamétrie recensait 28 125 visites issues de l'iPhone en moyenne par jour, sur la soixantaine de sites de son panel. Entre le 17 et le 31 juillet, 37 423 visites quotidiennes sont provenues en moyenne de l'iPhone, avec des pics dépassant les 40 000 visites sur certains jours (voir graphique ci-dessous). La connectivité 3G de l'appareil semble avoir séduit ses utilisateurs.

Les performances de l'iPhone sont d'autant plus remarquées que sur l'ensemble du mois de juillet, la fréquentation des sites internet a enregistré une baisse de 12%, vacances d'été oblige.

Mots clés Technorati : ,,,,

Tuesday, June 24, 2008

Google s'attaque à la mesure d'audience des sites

Stratégie - C'est une mauvaise nouvelle pour Nielsen ou Comscore. Le moteur de recherche va fournir gratuitement un nouvel outil de mesure de trafic aux annonceurs pour connaître les audiences des sites qu'ils ciblent.

Google s'apprête à bouleverser le secteur de la mesure d'audience : le moteur de recherche va présenter aujourd'hui un outil de mesure de trafic et de media planning destiné aux publicitaires. L'objectif est de leur permettre de mieux cibler les sites qui correspondent aux audiences qu'ils souhaitent atteindre. Selon le Wall Street Journal, qui a révélé l'information, cet outil serait fourni gratuitement aux annonceurs.
Le système de Google entrera en concurrence directe avec les données poduites par les instituts tels que Nielsen et Comscore aux États-Unis, ou encore Médiamétrie en France. Mais alors que ces sociétés s'appuient essentiellement sur des enquêtes sélectives ou sur des panels, Google entend exploiter les données qu'il collecte sur les serveurs web.
Le moteur de recherche n'a pas voulu en dire plus pour l'instant, arguant qu'un billet de blog détaillerait son offre dans la journée (dans la soirée, vraisemblablement, pour la France).
Google a déjà modifié son outil Trends
Cette annonce intervient quelques jours à peine après que Google a introduit un changement de taille dans son outil Google Trends, qui permet à l'origine de savoir quels sont les mots clés qui génèrent le plus de trafic. Depuis environ une semaine, une nouvelle fonctionnalité propose également de comparer les audiences de sites (jusquà cinq maximum), basées sur une compilation de données faite par le moteur (son outil Google Analytics, la barre d'outil de la société...)
Google fournit ainsi des informations sur le trafic quotidien, le nombre d'utilisateurs arrivés au site via son moteur de recherche, la localisation de ces utilisateurs et les sites qui ont été soit visités, soit echerchés au cours d'une même session. Le tout bien sûr, sans le consentement des sites, ce qui a fait grincer quelques dents dans la blogosphère. Pour l'instant, il n'existe pas de moyen technique d'empêcher Google de publier ces informations.
Seule restriction : les sites avec trop peu d'audience échappent complètement au radar de Google. Mais bizarrement, il en va de même pour tous les sites de la galaxie Google : YouTube, Picasa, Google.com ou Blogger.

Nokia rachète Symbian, qu'il veut proposer en licence gratuite

Par Tarmo Virki

HELSINKI (Reuters) - Nokia annonce le rachat de la totalité des actions de Symbian et son intention de proposer une licence gratuite du système d'exploitation mobile du britannique.

Le système d'exploitation de Symbian est utilisé dans les deux tiers des smartphones, ces combinés ayant des fonctionnalités d'ordinateur, et dans 6% de la totalité des téléphones portables mais il est menacé par l'arrivée de plates-formes comme Android de Google ou l'iPhone d'Apple.

Actuellement, son principal concurrent est le système d'exploitation Windows Mobile de Microsoft.

Cette acquisition "est une habile réponse aux menaces croissantes venues d'autres éditeurs de logiciels pour téléphones portables", a déclaré Geoff Blaber, du cabinet d'études CCS Insight, qui cite la fondation "open-source" LiMo au même titre que Google et Apple.

"Cela met beaucoup de pression sur Microsoft au moment où celui-ci cherche à pénétrer la sphère du consommateur", a estimé Carolina Milanesi, analyste chez Gartner.

"Baisser les prix est ce dont ont besoin les opérateurs et le marché pour favoriser l'adoption des smartphones et l'abandon des licences va y participer. Pour les opérateurs, cela offre une bonne alternative à Microsoft", a-t-elle dit.

Nokia, qui fabrique 40% des téléphones vendus dans le monde, va débourser 264 millions d'euros pour les 52% de Symbian qu'il ne possède pas encore.

Le finlandais a déclaré que Sony Ericsson, Ericsson, Panasonic et Siemens avaient accepté son offre de rachat d'actions Symbian et a dit s'attendre à ce que Samsung Electronics fasse de même.

"Le plus surprenant c'est que Nokia a obtenu la pleine propriété (de Symbian) d'un coup, et à un bon prix", a déclaré Karri Rinta, analyste chez Handelsbanken.

LA FONDATION SYMBIAN

Nokia a également annoncé la création de la Fondation Symbian, destinée au développement du logiciel. Le numéro un des téléphones portables s'est à cette occasion associé avec d'autres grands fabricants, avec les opérateurs AT&T, NTT DoCoMo et Vodafone, ainsi qu'avec les fabricants de semi-conducteurs Texas Instruments et STMicroelectronics.

Nokia y contribuera avec son logiciel Symbian S60, tandis que d'autres membres apporteront leurs plates-formes UIQ et MOAP pour lancer une nouvelle plate-forme commune Symbian en 2009.

"Cela nous offre l'opportunité d'innover plus rapidement avec une plate-forme plus grande, unifiée et plus largement acceptée", a déclaré à Reuters Kai Oistamo, responsable de la division appareils chez Nokia. "Cela nous permet également de proposer sur le marché de nouveaux produits plus rapidement."

Nokia a dit prévoir que le rachat soit finalisé d'ici la fin de l'année et qu'il impacte les revenus 2009.

L'action Nokia était en baisse de 0,26% en milieu de journée, tandis que l'indice DJ Stoxx des technologiques européennes perdait 0,81%.

Facebook devance MySpace

 

Une page de Facebook

 

Pour la première fois, Facebook passe devant MySpace. Audience parlant. Selon une étude du cabinet Comscore, le premier caracole avec 124 millions de visiteurs uniques dans le monde contre 115 millions pour le deuxième. En nombre de pages vues, Facebook (51 milliards) a aussi détrôné MySpace (45 milliards).
Banco donc pour le réseau créé en mars 2004 par Mark Zuckerberg qui fait un bond exceptionnel en un temps record et devient le leader des sites de socialisation. Alors que Facebook s’attaque au marché chinois et ses quelque 230 millions d'internautes chinois en lançant des versions en mandarin, MySpace, propriété de l’omnipotent homme des médias Rupert Murdoch, garde la main aux Etats-Unis avec environ 74 millions de visiteurs uniques (36 millions pour Facebook).
En France, Facebook reste deuxième
En France, plus de la moitié des internautes français sont connectés à des réseaux sociaux. Sauf que dans l’hexagone, ce n’est ni Facebook ni MySpace qui plaît le plus, mais la plate-forme Skyrock. «Les résultats de Facebook en France montrent bien tout ce qui peut se passer en seulement une année, explique Delphine Gatignol, de Comscore. Il y a un an, le site n’était qu’un concurrent mineur parmi les réseaux sociaux en France et désormais, il occupe la deuxième position dans le classement (derrière Skyrock, donc, ndlr). Facebook a encore fort à faire avant de pouvoir renverser le leader du marché, Skyrock.»

Wednesday, May 21, 2008

HP rachète EDS, numéro deux mondial des services informatiques

 

Business - En rachetant EDS pour 13,9 milliards de dollars, HP s'installe à la place de numéro deux mondial des services informatiques derrière IBM. En terme de chiffre d'affaires, la nouvelle entité sera la deuxième du groupe, juste derrière les PC mais devant les solutions d'impression.

HP se relance sur le marché des services informatiques face à IBM. La firme de Palo Alto vient de conclure un accord de rachat en numéraire de son compatriote Electronic Data Systems (EDS) pour 13,9 milliards de dollars, soit 25 dollars par action.

Numéro deux mondial du secteur, EDS compte un effectif de 138 000 salariés dans le monde. En 2007, il a réalisé un chiffre d'affaires de 22,1 milliards de dollars, en hausse de 4 % par rapport à 2006. De son côté, l'activité services de HP a affiché 16,6 milliards de dollars en 2007, sur un total de 107 milliards, toutes activités confondues.

Le rapprochement des deux activités ( 38,7 milliards) va permettre à HP de passer de la cinquième à la deuxième place du secteur, et se rapprocher d'IBM et de sa division Global Services qui domine le marché mondial des services informatiques avec plus de 54 milliards de revenus. Une nouvelle entité va voir le jour, sous la bannière EDS, et sera basée au Texas, au siège actuel de la SSII.

PriceWaterhouse Cooper brigué par HP, mais soufflé par IBM

HP cherchait depuis longtemps à acquérir un acteur majeur du conseil. En 2000, Carly Fiorina, sa P-DG à l'époque, avait brigué le rachat de la division Conseil de PriceWaterhouse Cooper (PWC). Avant de devoir renoncer, face à des résultats financiers en berne et sous la pression de Wall Street.

Deux ans plus tard,  PWC Consulting passait dans le giron d'IBM pour 3,5 milliards de dollars. La patronne de HP changeait alors de stratégie, jetant son dévolu sur le fabricant de PC Compaq. Aujourd'hui, l'acquisition d'EDS, remet au goût du jour la stratégie de Carly Fiorina, débarquée début 2005 pour divergences de stratégie avec le conseil d'administration.

HP s'est déjà renforcé sur le marché d'applications d'entreprise plus spécialisées, avec les rachats des éditeurs Mercury Interactive, Opsware, SPI Dynamics, Bristol Technology et Peregrine. Ces technologies, combinées avec le savoir-faire des spécialistes d'EDS, pourront attaquer directement IBM Global Services, et ses offres couplées à des logiciels tels que IBM Tivoli pour la supervision des infrastructures.

L'ambition de Carly Fiorina devient réalité

« Cela prouve un peu plus que HP ne voit de la valeur que dans ce qui est de grande taille », estime l'analyste Gordon Haff d'Illuminata. « Ces dernières années ont montré que Carly Fiorina avait vu juste, mais n'avait pas pu concrétiser ses idées. Elle avait raison en disant que HP devait devenir plus gros. »

Avec les troupes d'EDS, HP sera en mesure de se concentrer sur les grands comptes. Reste qu'ils ne représentent pas l'essentiel du marché, et que l'intensification de la concurrence risque de compliquer la donne pour les clients. Sans parler de la perte d'agilité induite par une structure plus lourde chez un fournisseur. « Les clients n'ont pas tous besoin d'une armada pour répondre à leurs besoins », estime l'analyste Paul Roehrig de Forrester. « Une partie préfère des fournisseurs plus petits, gage de plus de souplesse et de transparence. »

« HP cherche d'une certaine manière à copier IBM depuis un moment », indique Gordon Haff d'Illuminata. « Il a tout fait pour se muer en fournisseur de solutions au lieu de se cantonner aux seuls technologies et produits. On verra si cette stratégie a été la bonne. »

Source ZDNet.fr,

Thursday, May 15, 2008

SM le Roi Mohammed VI a fait une entrée officielle a BEN GUERIR

SM le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Moulay Rachid et de SA le Prince Moulay Ismail, est arrivé, lundi à Benguérir où le Souverain a fait une entrée officielle et où un accueil des plus chaleureux a été réservé à Sa Majesté par la population, traduisant ainsi son indéfectible attachement à l'auguste Personne du Souverain et au glorieux Trône Alaouite.

A Son arrivée à la place Al Masjid, SM le Roi, après avoir salué les couleurs nationales au son de l'hymne national, a passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d'être convié à la traditionnelle cérémonie d'offrande de lait et de dattes. Par la suite, SM le Roi a été salué par MM. Chakib Benmoussa, ministre de l'Intérieur, Mounir Chraïbi, Wali de la région de Marrakech-Tensift Al Haouz, Moulay Mamoun Boufarès, Wali au ministère de l'Intérieur, Mohamed Jelmouss, gouverneur de la province de Kelaâ des Sraghna et par le Président du Conseil municipal de Benguérir. Le Souverain a été salué également par le Commandant de la place d'armes de Marrakech, le Président du Conseil de la région, le Président du Conseil provincial, le corps de la magistrature, les députés et les conseillers de la province au Parlement, le Président du Conseil local des ouléma, les représentants des autorités locales, ainsi par d'autres personnalités civiles et militaires. En cette heureuse occasion et dans une ambiance de liesse populaire, les habitants de la ville de Benguérir et ceux venus des régions avoisinantes se sont massés tout au long de l'itinéraire emprunté par le cortège royal pour réserver un accueil des plus enthousiastes et des plus chaleureux à SM le Roi. La ville de Benguérir s'est parée, à cette occasion, de ses plus beaux atours et ses artères ont été ornées de portraits de SM le Roi et de banderoles sur lesquelles les habitants de cette région venus nombreux ont souhaité la bienvenue au Souverain et exprimé leur adhésion totale aux actions et initiative prises par Sa Majesté dans le but de réaliser le progrès, la prospérité et la quiétude de Ses fidèles sujets. Dans cette ambiance de joie et de communion, les habitants de Benguérir ont tenu à exprimer leur profonde gratitude au Souverain pour cette visite annonciatrice de bienfaits, qui insufflera une nouvelle dynamique au développement de cette ville. La liesse populaire a atteint son paroxysme lorsque SM le Roi s'est approché de la foule pour saluer, comme à l'accoutumée, Ses fidèles sujets venus réaffirmer leur loyalisme, leur fidélité ainsi que leur mobilisation constante derrière le Souverain.
MAP

Tuesday, April 15, 2008

Quand un fabriquant de PC vend un Mac à bas prix



C'est l'histoire d'un petit fabricant américain de PC, Psystar, qui voulait bousculer le géant Apple sur son propre territoire. Pour arriver à ses fins, le nain a décidé de commercialiser l'Open Computer, un ordinateur à bas coût, totalement compatible avec Mac OSX, le système d'exploitation d'Apple. C'est du moins ce que Psystar annonce sur son site . Apple dispose de l'exclusivité sur le marché des ordinateurs Mac. Rien de surprenant, la firme ayant inventé les Mac. Il n'en reste pas moins que cette exclusivité énerve de nombreux utilisateurs, car les prix pratiqués par Apple sont souvent élevés. De plus, elle exaspère les fabricants, qui voudraient bien profiter un peu de l'engouement actuel pour les produits à la pomme. L'Open Computer affiche des performances très correctes, pour un prix de seulement 399 dollars américains (environ 250 euros) : processeur à double coeur Core2 Duo, 2 giga-octets de mémoire vive, un disque dur rapide de 250 giga-octets, un graveur DVD, quatre ports USB 2.0, etc. Le système d'exploitation doit être ajouté et vaut 155 dollars (environ 100 euros). L'Open Computer est donc disponible avec Mac OSX à partir de 350 euros (de nombreuses options de perfectionnement sont disponibles), contre 599 euros pour un Mac Mini moins performant, du moins sur le papier. Les défenseurs d'Apple rappellent néanmoins que les composants informatiques utilisés par la Pomme pour fabriquer ses ordinateurs ne sauraient être comparables à des composants bas de gamme. Les tests à venir le diront, si la nouvelle machine est réellement commercialisée. En effet, l'opération semble totalement illégale. Le contrat de licence du système d'exploitation d'Apple stipule clairement qu'il est interdit de l'installer sur un ordinateur d'une autre marque. Alors soit Psystar cherche le procès, soit la stratégie du groupe n'a pas encore été totalement dévoilée. Fait troublant, initialement nommé OpenMac, l'ordinateur semble avoir été rebaptisé in extremis Open Computer, peut-être pour réduire (un peu) les risques de procès. Quoi qu'il en soit, il s'agit d'un pavé dans la mare : Psystar a prouvé qu'un Mac ne vaut pas nécessairement 599 euros. On attend la réaction d'Apple : procès ou ouverture ?

Monday, April 14, 2008

IBM veut révolutionner le stockage -IBM Storage revolution

 

Ultra rapide, ultra dense, inusable, la technologie 'racetrack' pourrait remplacer à la fois la mémoire classique, les composants flash et les disques durs

“Les données numériques sont aujourd’hui stockées dans deux types de dispositifs : des disques durs magnétiques et des mémoires SSD à accès aléatoire”, explique Big Blue. “Au centre d’Almaden, nous travaillons au développement d’une technologie de mémoire de stockage radicalement nouvelle, basée sur les phénomènes spintroniques récemment découverts. “

IBM promet d'associer la vitesse de la mémoire flash et le faible coût de production des disques durs dans un nouveau type de mémoire. Deux publications parues dans le magazine Science décrivent les avancées de Stuart Parkin et des membres du centre de recherche IBM d'Almaden (San Jose).

La mémoire racetrack permettrait de stocker 100 fois plus de données dans un même espace que les technologies classiques (flash ou disque dur). Son coût et sa consommation électrique seraient également réduits au minimum. Contrairement à la mémoire flash, les composants racetrack pourront être réécrits indéfiniment.

La technique consiste à stocker l'information sur des nanofils, plus précisément par manipulation du spin des électrons. Le temps d'accès à l'information est de l'ordre de la nanoseconde. Un unique transistor permet d'accéder à 16 bits de données, avec une vitesse en lecture/écriture 100.000 fois supérieure à celle obtenue avec de la mémoire flash.

Les premiers prototypes devraient apparaître d'ici deux à quatre années. Nous sommes donc loin d'une mise en production effective de ce type de mémoire, laquelle n'interviendra pas avant sept ou huit ans. La compagnie n'en est cependant pas à son coup d'essai dans ce domaine : nous lui devons la mise au point des composants mémoire et des disques durs.

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